La Bella Muerte [Daryl Ortega]

•- Chapitre 2

( Adriana en média)

Moi-« Intriguant... Retrouve la et ramène la moi, je veux voir ça de mes propres yeux. »

Aaron-« Si jefe... »

Je l'entends sortir et refermer la porte. Ses paroles m'ont intrigué. Qui peux bien être cette femme ?

***

PDV Adriana

BIP BIP BIP

C'est partie pour mon premier jour à Carter Corp, youpi...

Je me lève difficilement suite à ce bruit absolument INSUPPORTABLE.

Je vais dans la cuisine et me fait couler un café que je bois devant les baies vitrées. J'adore regarder la ville s'éveiller en même temps que le soleil se lève. C'est apaisant.

Mon café terminé, je vais me préparer. Je récupère dans mon dressing, la housse de vêtements ou se trouve la tenue que j'ai sélectionné hier ainsi que mes escarpins gris en daim.

Je vais dans ma salle de bain et prend une douche bien chaude qui me détend. Je suis très sereine pour cette journée qui risque d'être chargée.

Ma douche prise, je m'enroule d'une serviette blanche tout en me dirigeant vers le miroir. Je me regarde à l'intérieur et mon regard dévie vers le bas de mon oreille. Je ne peux empêcher mes doigts de parcourir cette traînée rouge. Partant de mon oreille jusqu'à ma clavicule, je suis cette cicatrice, témoin de mon passé.

Je reste quelques minutes, comme ça, à observer les marques de mon histoire. Puis, comme si je me réveillais d'un coup, sursaute, et me reprends. J'enfile ma jupe crayon et ma chemise que je rentre à l'intérieur.

Je sort ensuite mon énorme trousse à maquillage et en sort tout ce dont j'ai besoin. Je met un fond de teint clair et de l'highlighter. J'applique un fard marrons foncé sur l'extérieur de ma paupière puis blanc a l'intérieur. Je trace ensuite un long très d'eye-liner que je finis en virgule et applique une fine couche de mascara.

Je défait mon chignon rapide que j'avais fais pour ne pas mouillé mes cheveux et commence à les brosser. Je fais ensuite un chignon structuré haut et plaque les petits cheveux qui s'en échappe avec de la laque.

J'enfile ensuite mes talons et vais dans ma chambre récupéré mon sac et mes clés. Je regarde un dernier instant l'image que je rend dans le miroir, froide et sur de sois, parfait.

Je descend jusqu'au sous sol ou je récupère mon bébé qui n'est autre que ma lamborghini.