La Bella Muerte [Daryl Ortega]

•- Chapitre 15

FM-« Je sais que tu te pose énormément de questions. Je t'autorise à m'en poser quelques unes auquel je répondrai. »

Moi-« Hum... Et bien déjà, qui es-tu ? »

PDV Femme mystère

Je m'attendais à cette question mais je ne peux pas lui répondre. Ça ne servirait à rien sachant que je vais disparaître quand tout sera finis.

Moi-« Je veux bien t'éclairer certains points mais je ne veux aucunes questions personnelles. »

Il soupire et baisse légèrement la tête. J'aimerai tellement tout lui dire mais je ne peux pas.

Daryl-« Très bien. A quoi je sert alors ? Tu te débrouille très bien toute seule ! Déjà la dernière fois... Je ne vois absolument pas en quoi je te suis utile. »

Moi-« Simplement au cas où. Et tu m'aidera plus tard. »

Tu m'aidera pour mon dernier meurtre...

Daryl-« Sinon, pourquoi moi ? »

Je ne sais pas pourquoi cette question me prend au dépourvu. J'aurai du m'y attendre. Mais, il n'a pas tord. Pourquoi lui ?
...

Moi-« Parce que tu est très influant ici. Tu a des ressources dont j'ai besoins. Ton gang est puissant. »

C'est en partie pour ça que c'est pourquoi je t'ai choisis toi.

PDV Daryl

Elle a hésiter. Je vois bien qu'elle ne me dit pas tout. Je vois très clair dans son jeu. Elle me dit que je peux lui demander ce que je veux mais je ne peux déjà pas poser de question personnelle qui pourrait dévoilé son identité.

Malgré que sa tête me dise quelque chose, je ne peux poser un nom sur son visage...

Elle répond à mes question sans y répondre. Elle me donne une réponse sans tout me dire. Elle répond en gardant les choses pour elle.

FM-« Bon ! »

J'ai failli tombé en sursautant. J'avais presque oublier que je n'étais pas seul.

Elle se lève et monte à l'étage. Elle va sûrement dans son bureau pour finaliser son plan.

Plan que j'aimerai comprendre d'ailleurs...

***

Cette après-midi à été des plus longues. Ne sachant quoi faire, je n'ai cessé de penser à mes hommes, mon Cartel...

J'espère que tout ce passe bien mais je n'ai aucune certitude et à l'heure qu'il est, ça ce trouve, un traitre à pris ma place et j'ai tout perdu. Qui sais ?

Je me lève quand même sans grande envie et descend au salon ou une odeur de poulet flotte dans l'air. Je rejoins la cuisine à grande enjambée et la vois, sortant un plat du four.

FM-« J'ai fais du poulet. J'espère que tu aime. »

Moi-« Heu oui oui... »