Une soirée, un baisé mais toute une vie chamboulée.
Mia à 17 ans, ses parents sont divorcés et sa mère s'est retrouvé quelqu'un. Mia était cependant loin d'imaginer que ce compagnon avait un fils, Ethan, le gars de la soirée et surtout LE bad boy du...
15 jours. 15 jours que je ne lui ai pas parlé. 15 jours que son sourire a disparu par ma faute. 15 putin de jours où je me demande pourquoi j'ai été aussi con d'accepter ce foutu pari. 15 jours que je me rends compte qu'elle me manque et que vivre sans elle a crée un vide immense en moi. 15 jours que Mia est complètement sortie de la vie. Je ne l'ai recroisé qu'une seule fois, c'était dans un starbucks. Ce jour là, j'ai essayé d'aller vers elle pour lui parler mais dès qu'elle m'a vu, elle est parti. Et ça, ce n'est rien comparé à son regard, parce que dans ses yeux, j'ai vu de la haine, du dégoût. Et ça, croyez-moi, c'est horrible. Je voulais pas la blesser, ce n'était censé être qu'un jeu, un jeu auquel je me suis fait prendre et maintenant j'en paye lourdement les conséquences. Ça fait 15 jours que Mia est parti vivre chez une de ses amies, Rosie, je crois. Elle fait tout pour m'éviter et d'un côté je ne peux que la comprendre, j'aurais sûrement réagit de la même façon si on m'avais trahi comme je l'ai trahi. Seulement voilà, je ne peut pas m'empêcher de penser à elle, de penser à comment ses cheveux vont être coiffé aujourd'hui, quels vêtements a-t-elle choisi de porter, que fait-elle de ses après-midi... Ce sont toutes des questions auxquelles je suis incapable de répondre, Mia a choisi de quitter ma vie, et elle fait tout pour ne pas y revenir.
PDV MIA :
15 jours qu'il a brisé mon cœur. 15 jours que ne mange plus, que je ne dors plus. 15 jours que je ne suis pas sorti par peur de le croiser. La seule fois où je suis sorti pour allez chercher un starbucks, je suis tombé nez à nez avec Ethan. Quand je l'ai vu, j'ai vu dans son regard qu'il regrettais énormément, mais au fond de moi, j'arrivais pas à oublier ce qu'il m'avais fait. Comment pouvait-il prétendre m'aimer alors que tout ça n'étais qu'un mensonge fondé sur un pari de merde ?!. Ce jour là, quand il s'est approché de moi, j'ai fuis. Vous allez sûrement croire que je suis une lâche, mais si j'ai fuis, c'est parce dès que je le vois je retombe amoureuse de lui, et ça je ne veux plus jamais que ça arrive, je ne veux plus souffrir. Dans quelques semaines, l'année va se terminer et nous allons assister à notre remise des diplômes. Pour moi, c'est l'achèvement de longues années de travail acharnés dans le but de réaliser mon rêve : devenir médecin. C'est un rêve de gamine qui est sur le point de se réaliser, ou du moins en partit.
1 mois plus tard.
« Félicitation ma chérie, je suis plus que fière de toi. Tu as toujours été et tu seras toujours là meilleure. » dit ma mère en me prenant dans ses bras.
Ça y est, j'étais enfin diplômé, une nouvelle vie va commencer pour moi. Paris. La ville où j'ai toujours voulu allez, et je vais y habiter, c'est incroyable. J'ai été accepter dans une école de médecine à Paris, chose que je pensais impossible. J'étais vraiment triste de quitter ma famille et mes amis, mais après tout, si tout ce passe bien je serais de retour dans six année, sept tout au plus. J'arrête de songer à ma vie future pour me consacrer à mon présent. Je me dirige vers Rosie et Lily, qui ont elles aussi eu leur diplôme.
« Tu va tellement nous manquer » dit Lily, se rejetant sur moi.
« Oh ça oui, faites qu'on se retrouve vite » poursuit Rosie.
« Allez, venez me faire un câlin vous deux. » dis-je en tendant mes bras.
« Vous allez me manquer. » dis-je à mes deux meilleures amies, en regardant devant moi. Je vois Ethan, en face de moi. J'ai eu l'impression de dire ces mots comme si je m'adressais à lui. Évidement qu'il va me manquer malgré tout ce qu'il m'as fait je ne pourrais jamais oublier tous nos moments passer ensemble. Tu va me manquer Ethan Miller.
PDV ETHAN
Elle était là, juste en face de moi. Magnifique, j'ai l'impression de tomber plus amoureux d'elle à chaque fois que je l'aperçois. J'ai tout gâché. Elle est en train de faire un câlin collectif avec ses amies. J'aimerais être à leur place, envelopper mes bras autour d'elle et ne jamais la laisser partir. Je suis toujours entrain de la fixer quand elle rigole avec ses amies et tourne ça tête vers moi. Pour une fois, elle sourit. Même si je sais que elle ne me sourit pas, je suis content de voir que son sourire est revenu, même pour l'espace d'un instant.
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Mia Wilson, j'espère de tout cœur qu'un jour ton sourire s'adressera de nouveaux à moi. J'espère que la prochaine fois tu souriras car je t'aurais fait rire, et non pleurer. Je cherches mon père du regard pour allez le rejoindre mais je ne le vois pas. Quelques minutes plus tard, je l'aperçois avec Karen. Ils ne me voient pas car ils sont dos à moi. Je m'approches d'eux, mais je surprends une conversation que je ne peux m'empêcher d'écouter.
« Paris, mais c'est formidable ! Quand a-t-elle eu la réponse. » demande mon père à sa femme.
« Ce matin, nous allions partir et elle a reçu un mail de l'université ou était écrit : Mlle Wilson, nous aurons le plaisir de vous recevoir dans notre établissement dès la rentré prochaine. Je suis tellement heureuse pour elle, allez étudier à Paris est son rêve d'enfance. » réponds Karen.
Paris ? Mia va allez étudier à Paris. C'est une blague j'espère. Je décides de rentrer chez moi. Elle ne peut pas partir putin, elle a pas le droit de me faire ça. Mais quel con putin, elle fait encore ce qu'elle veux, elle n'a de compte à rendre à personne, et encore moins à moi, surtout vu les circonstances de ces derniers jours. Mia part à Paris. Elle recommence une nouvelle vie, vie dont je ne fais pas parti. Qu'est-ce que je croyait, qu'elle allait me pardonner et me proposer de venir avec elle ? Je suis qu'un imbecile, égoïste, qui blesse les gens qu'il aime. C'est terminé, je ne la reverrais plus, elle part pour de bon cette fois, et je dois m'y faire une raison.
1 semaine plus tard : Je descends dans la cuisine, et voit une lettre à mon nom. Je reconnais cette écriture, c'est celle de Mia. Je prends la lettre et l'ouvre.
