Nous marchons toujours en direction du campus, Alex toujours aggripée à mon épaules et toujours entrain de gémir. Je n'ose plus la regarder, elle a raison si seulement j'avais quitter mes pensée 5 secondes elle n'aurait rien eu. Mais bon ce qui est fait est fait pas de marche arrière.- Tu as mal où exactement ? Je me décide enfin à demander.
Elle regarde son genoux en grimaçant.
- Le genoux donc... d'accord. Je le savais déjà bien sûr elle s'en ai déjà plaints.. C'était simplement pour parler mais bon.. elle à pas l'air d'humeur.
Enfin arrivé je l'aide à monter les escaliers du campus et une fois arrivé devant la porte de la chambre Alex me fixe.
- Tu viens de nous faire sortir du bar pour allé manger et là on est devant la chambre, tu te fous pas de moi ?
Je suis d'abord surprise je ne sais pas quoi dire... puis je me ressaisi. Et j'ouvre simplement la porte , elle me regarde surprise de mon comportement.
- Suis moi à l'intérieur. Dis je simplement. Elle m'obeis.
Nous entrons à l'intérieur, je pose Alex sur mon lit.
- Ne bouge pas d'accord. Je reviens.
Je me dépêche de sortir de la chambre et d'aller trouver un responsable lui expliquant que ma colocataire ne se sens pas bien et que je doit m'occuper d'elle. Et également je demande si nous pouvons avoir un repas. Le gardien accepte et me donne nos deux portions de pâtes. Je me dépêche de remonté pour aller rejoindre Alex. Je prie pour que cette fois elle n'en fasse pas cas sa tête.
J'ouvre la porte et vois donc Alex toujours là, en même temps vue son genoux elle aurait rien pus faire.
- Je suis allé chercher à mangé, le gardien ma donné des pâtes... Tu veux lesquelles ?
Elle me regarde longuement.
- Carbonara.
- Tiens. Dis je en lui donnant.
Je vais chercher de quoi la soigné.
- Tu peu lever ton pantalon s'il te plait je ne peu pas soigner sinon..
Elle me regarde toujours aussi neutre.
Puis décide de lever son pantalon, en vain.- J'y arrive pas il est trop serré. Me dit elle assez sèchement.
- Eh bien est ce que tu pourrais heu enlever le pantalon... Elle me regarde avec un air interrogateurs. C'est juste pour te soigner voir !! Dis je affolé.
Elle sourit vite fait et essaie de se lever... Je décide de l'aider elle a beaucoup de mal à tenir debout. Elle tente de baisser son pantalon mais n'y arrive pas et le manque d'équilibre ne rend vraiment pas la tâche facile.
- Je heu attend..
Je commence donc à déboulonner son jean.
Elle me regarde complètement surprise, je m'excuse elle rigole sans rien ajouté de plus. Je descends sa braguette et sens son regard insistant sur moi je lève les yeux et effectivement elle me fixe. Je fini par descendre lentement le pantalon pour évité de lui faire mal. Et finis par tombé sur une culotte en dentelle noir. Ce qui me fait rougir je détourne donc le regard et le place sur son genoux blessé.
Elle à le genoux ouvert, je désinfecte donc la blessure ce qui la fait gémir de douleur puis une fois fait je met un pansement et pose de la glace sur son genoux gonflé.
- Je pense que tu as une entorse.
- Qu'est ce que tu en sais ? Tu es médecin ?
- Nan. Mais tu verra bien par toi même.
Je prend mon plat et elle le sien quelle avais déposé sur le lit en attendant, et évidement le plat est devenue froid.
- Le plat est froid. Dit elle une fois de plus avec un ton sec.
- Bon écoute si tu es pas contente tu bouge ton cul et tu va te le réchauffé toi d'accord ?! Je t'ai fait mal et je m'en excuse mais j'essai de t'aider si tu ne veux pas et bien tant pis pour toi !
Silence de mort... Elle me fixe comme satisfaite de ce qui viens de sortir de ma bouche. Puis...
- Désolé, peux tu me réchauffer mon plat s'il te plaît Emy ?
Je suis d'abord choquer puis prend son assiette fière de ce qui viens de se passer et part lui réchauffer, ce qui la fait un fois de plus sourir.
Une fois le plat ramené nous passons une soirée très agréable à regarder la télé avec les fameux bêtisier qui ne manque pas de nous faire explosé de rire quand soudain...
- Merci pour tout ce que tu as fait. Je me fige et la fixe. J'était énervé au début mais je voulais surtout voir combien de temps tu allais tenir sans rien dire. Rigolas t- elle.
- De rien et merci pour ce que tu viens de dire... Comme tu peu le voir je n'ai pas tenu longtemps. Dis je en rigolant aussi.
- Oh si ! Bien plus que ce que tu crois.
Puis nous nous endormions devant la télé sur mon lit.
