Chapitre 2 : Les ennuis commencent...

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Oliver et les autres finirent de raconter leurs histoires d'horreur. Seul John n'avait pas réellement participé vu sa couardise face aux autres histoires d'horreur des autres, il n'avait pas osé en raconter une lui. Depuis, ses camarades de chambre le surnommèrent « Le trouillard », sauf Oliver qui était beaucoup plus tolérant avec lui que les autres.

Une lettre apparue alors sous la porte de la chambre n°666. Jordan alla voir et l'ouvrir, même si il redoutait que ce n'était qu'une mauvaise blague des chambres voisines. Il pris un couteau suisse dans sa poche et réussi alors à l'ouvrir plus facilement. Il commença à la lire, puis les autres arrivèrent faire de même. Jordan préféra alors la lire à haute voix pour ne pas que ses camarades serrés ne soient gêné par la lecture. Oliver écouta attentivement, et il en saisit :


"Chers élèves de notre établissement, nous avons le désagrément d'apprendre que notre service de restauration de ce soir ne sera pas assuré. Pour cause, nos camions de livraison sont tombé en panne, mais, par chance, si tout va pour le mieux, la cantine sera assurée demain matin.
Cordialement, Mr. Saul de Brigstone."

Finalement ce n'était pas une blague... déclara Daren surpris après avoir su le contenu.

La cantine ne sera pas assurée.. grommela Jordan en regardant son ventre gargouiller.

Pas de chance ce soir... mais ! Peut-être que... S'écria Oliver en allant fouiller dans sa malle.

Oliver trouva au fond de sa malle une boîte de caramels. Il appela ses camarades et déclara fièrement :

Les amis ! Vous n'allez pas encore mourir de faim ce soir, regardez ce que ma mère m'a confié à partager, un gros sachet de 20 délicieux caramels !

En entendant cela, les 3 autres garçons s'approchèrent d'Oliver affamés et impatient en voyant le paquet de caramel que tenait Oliver dans ses mains. Il commença à en distribuer 5 à chacun des ses amis, et les 5 derniers pour lui. Jordan la bouche pleine remercia lors Oliver en lui disant :

Heureusement que tu était là ! Qu'aurions-nous fait sans toi ?

Ce n'est pas à moi que vous devriez des remerciments, mais à ma mère ! Répondit-il fièrement.

Ses amis qui eux avaient entendu la conversation demandèrent à Oliver tous en même temps :

Alors tu nous le diras de nôtre part quand tu lui écrira une lettre !

C'est promis !

La joyeuse petite troupe mangèrent les caramels et parlèrent en même temps rigoler et parler. Seul John le petit frêle du groupe ne parlait pas beaucoup

                                                                             * * *

La nuit tomba et plus tard, les garçons de la chambre n°666 allèrent se coucher. La lumière s'éteignit alors et il n'y eu plus aucun bruit. Tout le monde eu l'air de dormir. Sauf Oliver qui lui, songeait à ses parents et à ses frères et sœurs. Tout à coup, il se rappella de son rêve. Le rêve qu'il avait fait dans le train. Celui où il avait vu ses frères et sœurs parler de Narnia et du moment où il est tombé de la porte et qu'il a entendu le rugissement d'un lion. Il repensait à ce genre de choses, jusqu'à ce qu'il parvienne à s'endormir sans s'en rendre compte...

                                                                            * * * *

Oliver se releva. Il pensait être dans une chambre du pensionnat, mais il était dans un tout autre endroit. C'était une magnifique plaine fleurie de fleurs de mille couleurs. Toutes les couleurs étaient réunies, que ce soit du rouge sanguin au violet pâle, tout était là. Il remarqua aussi bien un cerisier. Ses fleurs d'un rose délicat brillaient au soleil. Pour mieux les voir, Oliver s'approcha du cerisier. À ce moment là, les pétales des fleurs commençèrent à s'envoler pour se former et
laisser place à une femme en pétales de cerisier. Quelque fois supris et impressioné, il fît un petit sourire à la femme en pétale. Elle lui fît de même, malgré que peu après, son doux sourire enchanteresse se transforma en cri de peur. Un orage s'abattu alors sur le cerisier et sur le reste de la vallée, il réduit de même en cendre, la femme en pétale. Oliver regarda ce spectacle avec dépit.

Le 5ème Pevensie (En Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant