chapitre 4.1

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On venais de se quitter, je marchais lentement, en repensant à ce que j'aurais dû lui dire. Tout avait changer si vite ..Lorsque la tristesse m'envahisais je repenser aux moment merveilleux de ma vie. J'observais le paysage, assis sur un banc, j'écoutais le bruit du vent, je rêver de la vie, je me laissais allé. Les bouffées de vent venais siffler dans mes oreilles, cette brise fesais du bien. Je couru chercher Éliane. Je voulais qu'elle en profite a mes côtés. Je la trouver encore assise a côtés de cet arbre, je pense que c'est son endroit préféré, en même temps la vue de cet arbres est splendide.

Je m'avançais vers elle et je lui tendis ma main.

"-Éliane viens avec moi, tu vois le banc là-bas? C'est mon banc, celui où je m'échappe de la réalité, je voulais partager cela avec toi,tu me suis? "

Je l'interrogea du regard, elle tendis également sa main, et nos doigt s'entrelacèrent. Elle me souris, sourire que je lui rendis.

"-Bien sûr que je te suis Matt, je te suivrai toujours, peu importe où tu iras. "

Nous courons alors, tout les deux mains dans la mains, comme deux mortels fous amoureux, nous ne nous occupions que de notre amour, de notre joie mais ce petit bonheur ne dura pas. Nous fûmes arrêtés par le vieux personnage de ma première journée au paradis. Il nous regarda sévèrement, moi et Éliane baissons la tête comme deux enfant pris en pleine manigance.

"-Que faites vous tout les deux ?

-Nous ne fesions rien de mal, s'il vous plais comprenez-nous...,  nous nous aimons, il nous est impossible de nous oublier, de renier nos sentiment

Il tapa sur le sol avec sa canne.

-TAISEZ-VOUS! Vous avez transgressé les lois du Paradis. Vous n'échapperais pas a votre sort. Demain dès l'aube,  Éliane, vous vous consumerez, quant à vous Matt, vous retournerez sur terre,  mais vous n'aurez plus la forme humaine que vous aviez avant,  vous serez condamné à errer sur terre,  sans possibilité de retour au paradis, et toute personne vous approchant seras morte la seconde d'après. Maintenant profiter de vos quelques heure, ensemble,  qu'il vous restent.

Sur-ce, il partis sans rien ajouter de plus. Je me tourna vers Éliane, qui avais le visage dévasté de larme.

"-Éliane, je suis tellement désolé, tout est de ma faute. Sèche tes larmes..ton visage ne mérite pas d'être infesté de tristesse, s'il te plais mon Éliane, ne pleure plus, profitons de notre dernier jour ensemble.

-Pourquoi, pourquoi tous ça nous arrivent ? Pourquoi?

-Mon Éliane, j'aimerais être une larme pour naître dans tes yeux, vivre sur tes joues et
mourir sur tes lèvres..., alors si je ne peut pas l'être ne pleure plus.

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