chapitre 4.2

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-Mais Matt.. ne te rend tu pas compte que plus jamais nous nous verrons?

-Si Éliane je m'en rends compte.. mais dis toi, que peut importe si tu est morte demain, tu resteras toujours au fond de mon coeur. Et c'est sans rancœur que je les pardonnerais de m'avoir volé la seule femme m'ayant rendu humain , tu m'as ouvert les yeux sur ce monde, tu m'as enlevé mon univers pour nous en créer un mille fois plus merveilleux, je ne saurais jamais te remercier de m'avoir libéré de la solitude a laquelle je m'étais habitué. Et maintenant il veulent te supprimé, et je suis impuissant devant cet acte, alors je les pardonnerais car tu m'as appris à aimer mes ennemis, à pardonner quoi qu'il arrive, à oublier, à ne pas venger même si j'aimerais te venger demain. Tu me manqueras, chaque jour j'aurais une pensée pour toi, et je n'aimerais personne d'autre que toi, c'est promis.

-J'ai si peur si tu savais Matt, si peur de te perdre à tout jamais. Je ne suis pas prête à te faire des adieux définitifs.

-Moi aussi Éliane, mais il le faut. On n'as plus le choix maintenant.

- Je regrette tellement..

- Comment peut tu regretter? Nous n'avons pas à regretter, mon amour, nous n'avons pas à regretter d'être humains, d'avoir un coeur créé pour aimer et non tuer.

- Mais regarde où cela nous as mené..

- Je sais Éliane, mais là n'est pas notre faute, nous avons vécus tellement de moments ensemble que passer un seul instants l'un sans l'autre est simplement inimaginable, impossible. Alors si la justice existée dans ce monde , c'est notre amour qui aurais vaincu ces règle.

- Oui mon amour, c'est vrai, nous ne pouvons passer un instant séparé sans que notre coeur n'en soit que déchiré. Je t'en supplie, raconte moi quelque-chose et part sans même te retourner, je ne veut pas te voir pleurer mon départ.

- C'est promis.

- Raconte moi mon amour.

- L'hiver frappé, c'était un matin bien enneigé, c'était un jour après le bal des terminales, tu était venue me voir, tu m'avais souris, et je t'avais attraper la main, je t'avais demandé "Éliane, veut tu sortir avec moi? Je ne suis pas le meilleur mais je tenterais de t'apporter tout l'amour que tu mérite", je me rappelle que tu avais pleurer, sûrement dut à l'émotion, et tes joues avait pris la légère teinte rosé de ta parka d'hiver. Ce jour est resté gravé en moi comme les noms qu'on grave sur une pierre.

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