Zohey: Sa faisait longtemps.

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Quand le coffre s'ouvre enfin j'ai l'impression qu'il ses écouler des heures. L'homme a retiré ses lunettes d'intello. Il me soulève et me fait entrée dans une sorte de manoir. Il m'emmène dans un grand salon ou il n'y a que des objets de torture. L'homme m'attache les bras en l'air, je suis pendu au dessus du sol, même avec la pointe des pieds je ne touche pas le sol. Mes bras me fond mal. Une femme avec une caméra me film. Il y a plusieurs caméras fixe, pointer sur moi. Trois hommes arrivent. L'un me caresse les seins, ouvre une pince qu'il laisse se refermer sur les tétons. J'ai mal et je ne comprend pas pourquoi on me film. Pendant je ne sais pas combien de temps ils me fond plein de truc horrible, dont s'amuser a me brûler les jambes avec une sorte d'acide liquide. Avec un brûleur il s'amuse a me le rentré et l'allumer a l'intérieur. J'ai jamais eu aussi mal. Mes larmes coules sans que je puisse les contrôler. J'ai tellement mal que je sens plus rien. Je suis détacher de la table bizarre et jeter dans le coffre. Je ne bouge plus. Le coffre s'ouvre a nouveau j'ai peur, où suis-je cette fois. Il m'attrape part le bras, me jette sur le bas côté et s'en va. La voiture démarre peu après. Je suis où ? Sur une route désertique, il fait une chaleur impossible. Je suis a quelques mètre de mon portail. De mes dernières force je me tortille et rampe quelques mètres, je dois traversé la route. Je m'avance et me dépêche comme je peu. J'en suis à la moitié quand une voiture arrive. J'ai juste le temps de me mettre le long de la bande jaune qui délimite les deux voix de voitures. J'ai le droit un regard en colère du conducteur. La route et brûlante, le goudron fond sous se soleil et ma peau déjà brûler empire. Je suis nu, les mains attacher dans le dos. J'arrive de l'autre côté. J'ai jamais eu aussi mal de ma vie. Le sable me brûle. J'essaye de me lever pour ouvrir le portail, sen force je n'y arrive pas. Je pleure et j'entends un bruit derrière moi. Je jette un coup d'œil et mon sang se glace. Rampe près de moi, un cobra noir du désert. Je reste sans bouger morte de peur. Je n'est pas eu le temps d'apprendre la langue des serpent correctement. Je tente maladroitement dans la langue universel de la nature. 

- Bonjour jolie créature... Pitié j'ai besoin d'aide... Peux-tu ouvrir le loquet de la barrière. 

Le serpent se dresse devant moi, je ferme les yeux, faut croire qu'il parle pas cette langue. Puis plus de bruit, j'ouvre les yeux, le serpent et sur le portail et ouvre le loquet. Il se laisse glisser jusqu'au sol. 

- Merci infiniment. 

J'ai l'impression qu'il me sourit et il s'éloigne, au moins il ma pas cracher sont venin. Maintenant comment faire, il y a plus de 500 mètre de chemin en sable et cailloux pour arriver chez moi. Au loin j'entends un grondement, des nuages arrive sur moi. Je soupire; je n'est plus d'aile pour me porter. Je dépose les armes. J'ai tellement mal. La pluie commence a tomber, génial. Je me laisse rouler sur le côté du chemin près de la boite au lettres en gémissant de douleur. Je ferme les yeux, Sultan va mourir si je le nourris pas. Je suis vraiment conne d'avoir pu croire que je pourrais m'en occuper. Vous devez me prendre pour une salope. La nuit envahis bientôt le ciel. Je suis trempé mais sa apaise mes douleurs. Une flaque se forme dans le renfoncement ou je suis. J'essaye de capter de l'eau avec ma langue. J'ai faim et soif. Je sombre dans un monde bizarre. Je me laisse aller. Lâche prise. 

***

Je ne sens plus rien, mon corps et s'en vie. Des pas m'approche. Non qui que vous soyez me toucher pas, laissez moi. On s'agenouille. Je garde les yeux fermé comme si sa aller me faire disparaître. Une main se pose sur mon ventre. Je crie, enfin je pense crié mais sa dois être plus un gémissement. La main se retire. Mais quelque chose m'enveloppe, on me soulève. J'ai mal, chaque mouvement me tue. Que va t'on me faire maintenant. La personne marche, encore et encore, la chaleur et étouffante. Une porte s'ouvre, je me tend où suis-je cette fois-ci. On me dépose sur quelque chose d'humide, mon dieu que sa fait du bien. Ses une sorte de grande serviette je pense, on m'enroule dedans. La personne semble être un homme ce qui me terrifie. Il bricole a côté de moi. J'entends des couinements et le voix clair mais lointaine de l'homme. 

- Pauvre petite chose. 

Je n'entend plus les couinements, cette voix je la connais, qui est-ce. Peu après une bonne odeur me parvient, il n'a pas tuer Sultan au moins. J'essaye de bouger sans y arrivé. Il s'assoit a mes côté et me caresse les cheveux. Il me murmure gentiment. 

- Tout va bien... Ses lui que tu cherche. 

Il dépose quelque chose sur moi. Une petite chose a quatre patte qui se tortille dans les sens en jappant de joie. J'essaye de me redresser mais je n'y arrive pas. Le chiot vient se coucher sur mon oreiller, en boule contre ma tête. Ma bouche essaye d'articuler quelque chose sans succès. J'ai peur. Il approche un verre a ma bouche, écarte mes lèvres, je rejette la tête en arrière comme je peu. Il me tient la tête mais me rassure. 

- Ses que du thé froid. 

Je laisse faire, l'infusion parcours mon corps et me fait beaucoup de bien. Peut-être qu'il veux m'aider. Ou fait-il ça pour pouvoir jouet avec moi après. Un frisson me parcours. Il pose le verre et retire la serviette. Je me tend quand il prend mes poignets, mais il se contente de me détacher.

- Je vais te faire un bon bain ma belle. 

Comment il me parle. Ce qui me trouble ces qu'il a pas l'air réelle. Notre professeur m'a appris que les hêtre comme moi doter de ce malheurs sont capable de se créer de idole rien que avec leurs imaginations. Est-ce le cas pour lui. Il me porte, il n'a aucune odeur. Arrivé a la salle de bain je suis sur qu'il n'est pas réel, et ses au moment ou je le pense qu'il disparaît. Je tombe sur le carrelage de la salle de bain, ma tête heurte la baignoire. J'aurais du attendre qu'il me tienne plus avant de pensée ça. Je tombe dans l'inconscience. 

Derrière la pluie ☔Où les histoires vivent. Découvrez maintenant