Chapitre 7

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- - - - - - - - - - - - - - PDV Jellal - - - - - - - - - - -

Le père d'Erza était désormais loin de sa maison, je décidais donc d'aller chez elle. J'espérais qu'elle allait mieux.

(Toc Toc Toc)

Erza vint m'ouvrir la porte, en me voyant elle fit une drôle de tête.

- Jellal, mais qu'est-ce que tu fais là. Me demanda-t'elle,

- Je suis venu voir si tu allais mieux, je m'inquiétais tellement pour toi. Lui répondis-je anxieux, écoute j'ai une idée, elle est complètement folle mais elle peut marcher.

Elle me prit par Le Bras, ferma la porte, m'entraîna dans les escaliers, et m'emmena dans sa chambre.

- C'est quoi ton idée, me demanda-t'elle en fermant la porte derrière elle,

- Fais tes valises, et vient on pars tous les deux moins d'ici,

- Et pour aller où ?

- Je sais pas encore mais ce soir viens dormir chez moi, puis demain on part. J'ai assez d'économies pour tenir une ou deux semaines, je me trouverais du travail et toi tu continueras d'aller en cours pour pouvoir faire les études qui te permettrons de choisir le travail de tes rêves.

- Je pense que ce plan est complètement fou, mais d'accord. Et juste, vu que tu viens de me sauver la vie, si j'ai fais croire à ma mort, c'est parce que mon père me l'a obligé, il voulait me garder pour lui, il ne voulait pas que je reste avec toi.

- T'inquiète pas, tout va s'arranger, et si ça peut te rassurer, même si je t'aime si toi tu ne m'aimes pas, tu peux quand même vivre avec moi, je ne t'en voudrais pas. Lui dis-je en rougissant,

- Mais bien sûr que je t'aime, me dit-elle en déposant un chaste baiser sur ma bouche.

Nous avons préparé ses valises, sa mère était venue nous aider. C'était très dur pour elle de voir sa fille partir mais elle ne voulait que son bien.

Nous étions sur la route, vers chez moi, on s'était dépêchés, par peur que son père, qui n'était toujours pas rentré, nous trouve.

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Arrivé chez moi, nous nous déchaussâmes et partîmes, dans ma chambre regarder un film avec un chocolat chaud et du popcorn. J'avais encore la sensation de sa bouche sur la mienne. Je la regarder, elle était hypnotisée par le film, elle était vraiment belle. Je passa mon bras autour de son cou, j'avais peur qu'elle me frappe, mais au lieu de cela, elle nicha sa tête dans le creux de mon cou. Waouw, elle sentait super bon, elle sentait la fraise.

Nous nous sommes endormi, vers je ne sais plus qu'elle heure. Je me réveilla, et commença à stresser ne la voyant plus dans mon lit. Puis elle sortit de la salle de bain, vêtue seulement d'une serviette.

- Je me suis permise d'emprunter ta salle de bain, j'espère que ça ne te dérange pas ? Me demanda t'elle, sa peau était replié de cicatrices mais elle était très belle, ça lui donnait un charme particulier,

- Non, ça ne me dérange pas, ne t'inquiète pas. Je vais aller faire mes valises, quand tu aura finis de te préparer tu pourras aller déjeuner si tu veux.

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Salut, j'espère que ce chapitre vous aura plus !
L'histoire se finit bientôt, il ne reste plus que 3 chapitres.
Je voulais vous remercier car le livre a dépasser les 150 vues et du coup je suis super contente !!

639 mots

Aime moi si tu peuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant