Poèmes d'un soir.

Avant.

Avant, je prétendais savoir aimé. Mais quand je t'ai connu, j'ai réellement su ce qu'était AIMER. C'est un simple mot de 4 lettres, mais HAIR aussi est un simple mot de 4 lettres. J'ai vécu milles et une chose avec toi. En faite, j'ai aimé ma vie à tes cotés. J'ai vu de nombreux paysage, tous aussi splendides les uns que les autres. J'ai appris des tas de choses qui m'étaient inconnues avant. J'ai adoré m'accrochais à ton cou au détour d'une rue en Italie. J'ai adoré la manière dont tu me prenais la main quand ton père nous regardait. J'ai adoré les moments ou tu t'endormais sur ma cuisse quand les trajets étaient trop longs. J'adorais comment tu m'aimais. Mais tu t'en es allé, avec mon âme, mon coeur. Comme un ouragan qui laisse sur son passage que du chaos. Tu as été l'ouragan de ma vie. Tu es partit en me laissant que des bouts de souvenirs, et quand je te recroise dans les couloirs, c'est comme si rien ne s'était passé. Même pas un regard. Je donnerais tout pour que tu me regarde encore une dernière fois. Pouvoir entendre une dernière fois tes « je t'aime ». Sentir une dernière fois tes lèvres contre les miennes.

J'écris ce texte avec les larmes qui ruissèlent sur mes joues. La terre a tremblé sous mes pieds quand tu m'as laissé. Nous nous sommes aimé en Italie, et nous nous sommes aussi quitté là-bas, qu'elle triste ironie. Tu m'as détruite en si peu de temps, alors que tu avais réussis à me réparer. Comment on peut prétendre aimer quelqu'un, après l'avoir si vite abandonné ? Tout simplement parce que tu ne m'aimais pas.