Manhattan, 13 ans après le braquage de La Maison de la Monnaie et 10 ans après le braquage foiré de la Banque D'Espagne.
Aleria's Head
Quand je sors de l'immeuble abandonné, je rabats instantanément ma capuche sur le crâne.
Pour accéder à mon étage, il faut grimper un mur d'enceinte, traverser des fils barbelés et un couloir flippant, puis ensuite trouver la porte qui mène à mon appartement.
Depuis que mes parents m'ont abandonnée dans les rues de Manhattan, je ne peux compter que sur une unique personne.
Évidemment, ici, on ne connaît que son nom, j'ai eu l'honneur de le rencontrer et de passer mes huit premières années de ma vie à ses côtés. Puis il m'a laissé m'envoler du nid, il m'avait assez bien élevée et entraînée pour que je sache me débrouiller seule dans la rue.
Cet homme, il s'appelle Éric, plus connu sur le nom du Masque Noir.
Depuis que ces fameux "Dalis" on convaincus l'Espagne et une partie du monde que c'était la guerre contre les gouvernements. La rue est dans tout les quartiers, même ceux du Président Américain.
Quand je tourne à droite sur la ruelle, je tombe dans la rue la plus dangereuse certainement de tout le quartier New-Yorkais. Mais j'ai une force, une réputation si grande que quiconque oserais me toucher sans mon accord, en subirais les conséquences.
Le Masque Noir à des sbires de partout, et je sais que même si il m'a laissé ma liberté, il continue de veiller sur moi comme un père prendrait des nouvelles de sa fille, même si elle est à l'autre bout du monde.
A mon anniversaire je reçois des colis cadeaux, à Noël aussi. Pourtant, il ne me donne presque pas d'argent, ça j'en fais mon affaire personnelle, je suis douée à ça.
Comme le hack sûrement, mes deux péchés mignons réunis, prenaient garde.
Je traverse la rue pavée, les hommes rafistolant un scooter m'observent. Des dealers qui troquet m'observent aussi. En fait, voir une gamine de treize ans trainer dans les rues ici, c'est étrange. Mais ça fait six ans que ça se passe ainsi, ils sont habitués.
Je trottine maintenant, puis je prends la rue à gauche, je pousse la première porte qui me tombe sur la main et atterrit dans les backstage d'une boîte de nuit, le sol est jonché de bières cassées et de verres brisés.
C'est habituel après un lendemain d'une soirée arrosée, je croise Joe le barman qui m'offre un sourire réconfortant, puis je traverse la salle pour pousser la porte du fond, il me suffit de quelques secondes pour me retrouver dans une rue bondée de monde.
-Allez Aleria, c'est ton jour, me chuchoté je à moi-même.
Je me fraie un passage entre les passants, aussi rapide qu'un jaguar et précise qu'un aigle, je saisit les billets dans les poches, des fois je retrouve des bracelets qui valent. J'en suis satisfaite.
Je finis par m'arrêter dans un super marché puis un starbuck pour m'acheter un sandwich et un macchiato au caramel.
En observant la foule, je me demande encore comment tout ces gens avaient pu être du côté du Professeur et de sa bande.
Je pense que je regrette de ne pas être née plus tôt, qu'est ce que j'aurais adoré participé à ça ! Mais Éric, ah ce bon vieux Éric, il m'a toujours considérée comme supérieur, capable de braquer plus grand encore, d'apprendre de mes erreurs et de celles des autres.
Il m'a inspiré pour le braquage de la banque d'Angleterre. C'est la bas que je ferais mon premier casse, j'y suis préparée, je réfléchis à ma touche finale... Et à mes futurs coéquipiers.
Donc ce n'est pas une partie jouée d'avance ! Je glisse de la rambarde et au passage jette les emballages vides dans la poubelles. Ma capuche est tombée quelques secondes, juste le temps d'apercevoir mes yeux bleus.
Je fais demie tour, et rentre au bercail. Au passage, j'en profite pour m'acheter de quoi manger ce soir, et tenir cette nuit.
Avant de vous affoler, au moindre trafique de drogue, le Masque Noir envoit ses hommes me clouer dans un orphelinat pour le reste de mon adolescence. Et comme je tiens à ma liberté...
Quand j'entre dans mon appart', je me glisse sous la douche puis je me rhabille une fois lavée.
J'en clenche tout mon système électronique, je suis contente de disposer de tout ça, dieu sait à quel point le hack m'aide à m'échapper de ma vie merdique.
Le hack m'a tout appris, Excepté lire et écrire ça c'est Éric qui me l'a enseigné. J'ai appris les chiffres, les nombres binaires, les codes, les pages, les système internet, les par feu, comment supprimer une ligne entière de code sans se faire repéré.
J'avais débuté avant d'arriver dans ce trou à rat, et aujourd'hui, tout le monde se demande qui est Atlanta.
Atlanta, c'est moi, et je serais votre pire cauchemar. Je suis, votre volonté la plus désirée, et votre confiance redoutée en même temps.
Je suis diabolique, mais ingénieuse. Je suis celle qui peux vous faire tomber, ou vous faire grimper des montagnes.
Aimer moi et je vous aimerez, détestez moi et vous en paierez les conséquences.
Envoyé
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Alooors, qu'en pensez vous 😏.Moi j'adore mon peros xD, sachez que ce n'est que le tout tout tout début. Visu avez un aperçu de la suite cependant.
Love sur vous ❤️
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La Casa De Papel :Partie 5
FanfictionMon nom est Aleria Cortés , dans la réalité, je suis une gamine de quatorze ans qui traîne dans Manhattan. Mais sur internet, je suis Atlanta, l'invisible, la hackeuse qui pourrait faire du tord à quiconque oserait se dresser sur mon chemin. Ceci e...