Les semaines passent et depuis mon enlèvement, je ne pense qu'à Théo, tout le temps, et je passe d'ailleurs mes journées avec lui. Ils viens d'ailleurs souvent dormir à la maison, car maintenant, il n'y a qu'avec lui que je me sent en sécurité. Mes parents ne sont d'ailleurs pas très sereins là dessus, mais le psychologue leur ont dit de nous faire confiance alors ils ne disent rien. Il m'arrive même parfois de l'appeler au milieu de la nuit car je me réveille en plein cauchemar, et c'est d'ailleurs ce qu'il s'est passé ce soir là.
Théo m'attrape, un homme le tiens, couteau sous la gorge. 《TUE LA! TUE LA JTE DIS !》 Il hésite, puis s'exécute. Un me donne un coup dans le crâne avec une pierre, et je me réveille en suseau, essoufflée. Je regarde l'heure, trois heure du matin. C'est les vacances de Pâques. Je prends mon téléphone et je compose le numéro de Théo. Il ne répond qu'au bout de deux sonnerie.
《De quoi tu as rêvé cette fois ? Dit il dune voix à moitié endormie.
- Il y avait un mec... Et ... Il voulait te mettais le couteau sous la gorge... Et... Il te disais de me tuer... Et... tu l'a fait... articulais-je, la respiration haletante
- Bouge pas, j'arrive ma belle.》
Il a raccroché. Je m'agrippait à mon oreiller en attendant, sans oser bouger. Mes parents avaient l'habitude qu'il débarque à l'improviste au milieu de la nuit, alors on laisse un double des clé derrière une pierre, il vient, il ouvre, il referme, et il monte dans ma chambre. Heureusement, il n'habite pas très loin, et il est très attaché à moi, car bon venir chez sa copine au milieu de la nuit il faut du courage ! Et moi, je ne bougeais même pas de mon lit. Je doit vraiment être difficile à vivre. Il m'envoie un message pour ne pas me faire peur comme à son habitude et je l'entends monter mes escaliers. Il ouvre la porte sans toquer, et pose sa main sur mon épaule qui tremblait tout comme le reste d selon corps.
《Ça va aller... ce n'est qu'un rêve... c'est promis...》
Il vient s'installer à côté de moi dans mon lit, et passe un bras autour de mon épaule.
《Je te jure que c'est finis. Plus jamais ils ne te feront du mal, d'accord ?》
Dans l'obscurité, je le vis verser une larme. Je sais que c'est dur pour lui de me consoler, quand lui même souffre encore à cause de ça. Chloé n'est même pas encore revenue en cours, elle est en hôpital psychiatrique depuis son retour en France, et les rares fois où il l'a vue, il était effrayé par son comportement. Elle, ils m'ont vraiment détruite. Et Théo s'est bien remis, car quand j'en pense qu'il a dû faire du mal à autant de gens...
《Et toi ? Murmurais-je dans le calme nocturne
- C'est la dernière chose que j'ai envie de faire, Sacha.》
On s'appel pratiquement toujours par nos prénoms. Ça arrive qu'on se donne des petits surnoms mais c'est rare. C'est notre petit truc à nous.
J'ai commencé à sangloter.
《 C'est quand que ça sera finis tout ça ?
- C'est déjà finis.
- Non, je veux dire, les cauchemars, la peur, les rdv chez le psy, tout !
- Bientôt c'est promis.
- Pour moi peut être, mais toi alors ?
- Ne t'inquiète pas pour moi Sacha.》
Il me serra fort contre lui pour arrêter mes larmes. Il jouait avec une mèche de cheveux avec deux doigts, du bras qu'il avait passé sous ma nuque. Je me suis endormie bien avant lui, mais je ne suis même pas sûre qu'il ai dormit de la nuit. Je ne sais même pas si il y a des nuits où il dort vraiment.11h00 - Chez Sacha
Je me réveille aux alentours de onze heures, toujours le bras de Théo sous ma nuque. Je me lève car il doit avoir d'horribles fourmis.
《Bien dormit, belle aux bois dormant ?
-mhmhh... Ça va ton bras ?
- quoi mon bras ?
- ben, tas pas des fourmis?
- Je commence à avoir l'habitude avec toi.》 Il se lève et descend à la cuisine, me préparer un petit déjeuner. Ou plutôt un déjeuner. Mes parents sont déjà partis travailler depuis un moment, nous sommes donc seuls chez moi. J'enfile un sweat, c'est celui que j'ai prit à Théo le jour de ma fuite, je le garde tout le temps, pour dormir ou quand il fait froid, car son odeur est vraiment rassurante. Ils est vert foncé avec écrit "Oxford". Un pull tout simple mais qui représente beaucoup pour moi. Je sent une odeur de pancakes monter jusqu'à ma chambre. Je descend, Théo était en train de faire.
《Tu sais, tu peux au moins me laisser faire ça.
- Tu insinue que je suis un mauvais cuisinier ?
- Non, j'insinue que tu en fait déjà beaucoup pour moi.
- Je te dois bien ça. C'est moi qui t'ai mise dans la merde.
- On a déjà eu cette discution mille fois, tu l'as fait pour me protéger, tu n'as pas à tel vouloir.
-Mouais...
- D'ailleurs, il y a une question que je me pose depuis le soir où tu m'a frappée...
- Je t'écoute ?
- À quoi tu pensais ? Ton regard à changé et tu avais l'air de te concentrer pour penser à quelque chose en particulier. [Rien que de penser à cette image jai froid dans le dos]
- Oh... j'essayais de trouver la rage nécessaire pour te frapper... Je pensais à toi et Nath, les images que je me faisais de vous en train de... Et aussi à toutes ces choses qui faisait que je te voulait. Je tel voulait parce que tu me détestais. Et pourtant c'était de ma faute.
- Oh...》
On s'est assis sur la petite table de ma cuisine et on a petit déjeuné. On mangera vers 14h, ça le fera.
On s'est habillés, et on est partis se balader, pour se changer les idées.
On est passé devant un grand carré d'herbe au sommet fin falaise aux abords du village.
《Tiens, ça serai cool comme endroit pour faire du camping! Suggerais-je
- Tu crois ?
- ouais, en plus la vue est magnifique !
- Ça te dirai de dormir là ce soir ?
- Oui, ça serai génial !》
On a finit notre petit tour du village et on est allés préparer nos affaires.
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Nos mots dansent sous les étoiles
Storie d'amoreQuelques mots glissent le long de mes lèvres, rejoignent les tiens et dansent sous la pleine Lune. ☆14/07/19 - 115 dans la catégorie comique.☆ ☆25/07/19 - 65 dans la catégorie comique.☆ ☆26/07/19 - 636 dans la catégorie ado.☆