Dans le tunnel sombre d'un froid ardent
Perdu dans la pénombre de mes sentiments
Parfois sauvé par des flashs de vitalité
Mais cela ne suffit pas pour éclairer l'obscurité
Je leur demande de comprendre ma douleur
Mais comment en vouloir aux gens d'honneur
De ne pas comprendre un cerveau sans bonheur
C'est comme essayé de voir une nouvelle couleur
Et chaque jour est une nouvelle douleur
En attendant que enfin sonne mon heure
Derrière la fumée, seul, je me meurs
Vivre est un bien dur labeur
Dans cette vie de malheur
Mes démons avec moi, je sens leur chaleur
Plus ardent que mon cœur, d'une funeste froideur
Comme le cœur d'un volcan privé de lave
Comme un vêtement blanc que personne ne lave
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mon recueil ou l'historique de ma depression
PoetryJe vois des [terminé] un peu partout mais bon moi c'est jamais vraiment fini Plus t'avances, moins c'est maladroit, vas jusqu'au bout
