Comme un voyageur au bout du chemin
En l'air juste au dessus du ravin
La vie a un air sournois et moqueur
Tandis que la mort soulage mes peurs
Mélancolie sans queue ni tête
Sous la pluie au milieu de la fête
Je suis entre suicide et meurtre
Les pensées de ma tête se heurtent
Dans ce monde tellement de voleurs
De violents, de meurtriers, de violeurs
D'exploitants, d'esclavagistes et de pollueurs
Qui nous rapprochent de notre fin
Qui mettent des murs sur mon chemin
Et si je me battais pour défendre mon espèce
Ou dois-je mourir, réduit en pièces
Je roule seul et complètement ivre
J'écrase mes émotions sans me retourner
Et si l'humain doit vivre
C'est encore une chose que je vais échouer
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mon recueil ou l'historique de ma depression
PoesíaJe vois des [terminé] un peu partout mais bon moi c'est jamais vraiment fini Plus t'avances, moins c'est maladroit, vas jusqu'au bout
