Le temps d'un moment

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 même si mes journées étaient bien remplies et épuisantes, je dois dire que j'étais heureuse. À chaque matin depuis quelques semaines j'avais le bonheur de me réveiller aux côtés de la plus belle fille qu'il m'ait été donné de voir en ce bas monde. En effet Costia me rejoignait à touts les soirs, afin de partager mon lit, comment être plus heureuse? J'ai aussi commencé quelques démarches afin d'unifier tous les peuples, certains sont encore hésitant à l'idée... Mais nous introduitions  tranquillement l'idée d'un peuple unifier au sein d'une alliance fondée sur la paix. J'étais la personne la plus respectée et la plus haut gradé de mon peuple, et je n'avais que 17 printemps, beaucoup de soldats étaient près a donner leurs vies pour moi. Ce qui fesait de moi la personne la plus protégé et la plus hors d'atteinte, mais hors d'atteinte ne signifiait pas "impossible d'atteinte" et soyons hônnête, la reine Azgeda, Nia, était comment dire...peu impressionnée par la flamme pour faire court, la seule allégence qu'elle respectait était pour son peuple, qu'elle voulait voir toujours plus puissant. La flamme n'était qu'un obstacle majeur sur son chemin....et la flamme...En quelque sorte... c'était moi...

Bref...j'étais réveillé depuis un bon moment déjà lorsque Titus vint cogner à ma porte. À peine avais-je couvert de couvrir les hanches dénudées de ma belle, et de couvrir mon propre corps qu'un Titus à fleur de peau fit irruption dans la pièce sans même avoir attendu ma permission.


Titus- Heda.... il s'arrêta devant la vision que nous lui offrions, une Costia endormie dans mes bras et moi qui devais être rouge de honte autant que de colère. Heda je...que... attendre..dehors..marmonna-t'il avant de quitter la chambre les yeux au sol et un expression à la fois déçu, contrarié et toujours aussi stressé qu'a sont entré.

Je ne pris que 2 minutes à revêtir mon dessous d'armure et mon armure elle même. Mais juste avant de sortir, je pris une grande inspiration tentant de me donner du courage, et poussais la porte pour rejoindre mon conseiller qui m'attendait probablement armé d'un discours de la morts qui tue, répétant probablement sans cesse: l'amour est une faiblesse.

Mais une fois en face de Titus, il garda ses reproches pour lui et ne me fit qu'un petit signe de tête afin de m'inviter a le suivre. Oula!, j'avais peur maintenant, quesqui pouvait inquiéter Titus au point de taire ses reproches? Ce devait être plus que sérieux... avec tout ce questionnement, je n'avais même pas remarqué que nous étions maintenant devant les portes de la salle de trône.

Titus ouvrit la porte et entra, deux gardes, dont Lincoln sur ses talons et deux autres après moi, finisant nôtre petit convoi. Je marchais la tête droite regardant droit devant moi, ne fixant que le trône, et puis chacun pris sa place assigné, Titus à ma droite, moi sur mon trône, deux gardes devant les portes, Lincoln derrière moi et un autre garde à ma gauche.

Ce n'est que lorsque je me retournais que je ne pris conscience de la situation, des hommes, apparament des trikrus aux vues de leurs accoutrements, ce tenaient devant moi, chacun blessé plus ou moins grièvement.

Je fis un signe rapide de tête afin qu'ils puissent commencer leur histoire,

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Pour faire court, une troupe Azgeda composé d'environ 25 peut-être pas plus  fesait des ravages dans les villages trikru près de la frontière Azgeda-Trikru, tentant apparament d'agrandir leurs territoires vers de Sud pour avoir plus de terre fertile. Je ne pouvais pas le toléré, c'était une déclaration de guerre, mais j'allais quand même envoyer des  soldats en paix, pour simple avertissement. Peut-être que Nia comprendra pour une fois...

moi-Mais pour être sur, j'enverais une cinquentaine de guerriers, suffisament pour mettre les chances de nôtre côté si ils en venaient aux armes , mais vous aurez l'ordre de ne pas attaquer en premier, Titus?... le conserné me regarda.

Titus-oui Heda?

moi- prépare les hommes , dit leurs ce qu'il doivent faire et fait préparer suffisament de vivres pour quelques jours...

Titus-oui Heda.

Je mis fin a cette "reunion" surprise, je devais aller déjeuner dans ma chambre avec Costia, puisque je suis avais promis un peu de mon temps hier soir...Mais lorsque que j'entrais dans ma chambre , je decouvris quelle était completement vide... Je sortis et alla cogner à sa porte, qui était juste à coté de la mienne.

Mais aucune réponse ne me vint, la seule chose qui me permettait de savoir qu'elle était à l'intérieur était les éclats de voix d'une conversation entre elle et Lincoln.

Je poussais donc la porte, Lincoln et Costia se disputaient, et sans même avoir écouté se qu'ils se disait, je connaisais déjà le sujet de leur dispute, Costia voulait faire partie de la cohorte pour la prochaine mission.

moi- Costia... je... mais elle me coupa avant même d'avoir put commencer.

Costia- Lexa, laisse moi terminer avant de tenter quoi que se soit, elle prit une petite pause avant de reprendre, j'adore ma vie ici, vraiment, mais je suis d'abord et avant tout une guerrière, j'ai besoin d'action, de sortir de la routine sans danger dans laquelle tu m'as plongé.... Elle fit quelques pas dans ma direction avant de prendre mes mains dans les sienne, Lexa....dit-elle avant d'essuyer une larme sur ma joue dont je n'avais même pas encore conscience. Je dois le faire... sinon je vais devenir folle ici loin du danger, alors que mon peuple ,mes confères  et même mon frère se battent...

moi- si c'est ce que tu veux Costia... qui serais-je pour t'enfermer ici et te rendre malheureuse? Je veux que tu sois heureuse et si pour cela tu dois m'être ta vie en danger, et bien ainsi soit-il... finissai-je la gorge noué.

Ma copine sautait a présent de joie, et moi, j'était inquiète, je me tournait vers Lincoln, vu l'expression qu'il affichait, il esperait probablement de moi que  je convainque Costia de rester ici, mais il n'avait pas calculé le fait que je me trouvais incapable de lui refuser quelque chose, surtout une chose qu'elle désirait vraiment. 

Une enfant sans enfanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant