pile vivre face mourir

7.

Le marteau tapa le socle en bois dans un dernier regard, nous fûmes interrompu par Danzô:

- Comme je l'ai dit ultérieurement je suis Danzô Shimura et je suis en charge de cette affaire. Il fit une pause pour lire quelque ligne des feuilles qu'il avait en face puis releva les yeux pour me regarder.
- Shikamaru Nara vous êtes accusé du meurtre de huit de vos camarades, Temari Sabaku est votre avocate et va donc vous représentez tout le long de cette affaire quant à Tsunade Senju vous êtes l'avocate représentant l'état, bien maintenant que tout est clair je vais laisser la parole Mme Senju.

Je la regardais se lever pour ce placer un peu plus au centre histoire que tous le monde la voie et l'entende.

- Merci votre honneur, Mr. Nara vous avez tuer 8 de vos camarades…

- Objection votre honneur, elle affirme le fait pour le quelle nous sommes ici, cela pourrait affecter la vision du juré sans l'ombre d'une preuve.

Temari c'était lever sans pour autant se déplacer  je vis Danzô reflechit puis dire " accordé".

- Donc d'après vous votre client est non coupable et je trouve intéressant que vous parliez de preuve alors que nous avons 5 membres des forces spécial qui sont des témoins oculaires.

Le ton de Mme Senju se faisait plus dure et même énervé je me demandais presque si elle n'avait pas un rapport plus intimes avec l'affaire que simplement être une avocate, je vis Temari s'avancer et je compris qu'elle allait jouer l'une des seules cartes que nous avions en mains.

" flash back: durant l'une des soirée ou il étudiait l'affaire"

- Ca ne va pas marcher. Dis-je d'un ton lasse

- Si on t'écoutait tu serais déjà mort, ça nous fera gagné du temps et en plus leurs témoins ne serviraient plus à rien. Avait répondu Temari en s'enfonçant dans le canapé satisfaite

- Vraiment? Avouer avoir tuer Kiba mais maintenir mon innocence quand aux autres, comment veux-tu que ça nous aide. Répliquai-je en levant les yeux au ciel

- Simple, auto-défense, tu racontes ce qui s'est passé Kiba à tuer tout le monde et tu t'es défendu pour ne pas être le prochain quand leur précieux témoins sont arrivés tout était fini ils seront donc inutile. Avait-elle rétorqué

- Bonne idée mais ce sera notre parole contre la leur. Dis-je le plus ironiquement possible

- Imbécile t'es pas possible… la police à accès a des moyens très utile mais ça tu le sais déjà vu que tu y a travaillé maintenant dis moi ce que nous pourrions utiliser pour prouver ton innocence.

- Passer au détecteur de mensonge…

- Exactement c'est notre seul atouts si ça marche tu fera l'objet d'une enquête au sain des affaires internes et tu seras acquité pour le reste, et dans le pire des cas tu seras rognées des forces de l'ordre mais normalement rien de plus grave.

- Et si c'est irrecevable?

- C'est notre seul chance a toi de choisir maintenant.

- J'ai confiance en toi je te suis.

Elle me lança un sourire qui aurait pu me faire chavirée si j'avais été dans un bateau avant de continuer de lire et relire les même dossiers.

" fin flash back"

- Mon client est bel et bien innocent, les témoins ne connaissent que la fin de l'histoire, histoire qui est désormais erronée…

- Vous confessez donc le meurtre de l'inspecteur Inuzuka mais pas celui des autres? Ça n'a aucun sens. Intervint pour la première fois le juge

- Effectivement mais pas comme un meurtre mais comme de l'auto-défense, l'inspecteur Inuzuka est le vrai coupable mon client n' rien fait d'autre que se défendre.

Cette révélation avait crée un boucan pas possible on pouvait entendre des "menteurs" ou même des " affirmation sans fondement" dans tout ce bordel je n'avais pas vu la femme de Kiba ne retenant plus ses larmes se levant et crier en me menaçant de ses points:

- Assassin tu ne mérites rien d'autre que la mort!

Son cri avait retentit tellement fort que tout le monde ce calma, toutes les personnes présentes ressentir sa douleurs moi y compris. Nous nous fixâmes comme les deux âmes en peine que nous étions jusqu'à ce qu'un officier l'escorte à l'extérieur de la salle.

- Continuer je vous pries. Déclara Danzô tout aussi déboussolé que nous tous

Temari n'eut pas le temps de continuer ses explications que Senju l'avait devancé:

- Comment comptez-vous prouvez ce que vous insinuez?

- J'y arrivait justement si vous arrêtiez de m'interrompre,  bref… mon client accepte de se soumettre au détecteur de mensonge sous les yeux de la cours. 

Un grand silence put se faire sentir ainsi que l'étonnement de tout le monde, il est vrai que les accusés avaient que rarement recours au détecteur de mensonge mais je ne comprenait pas cet étonnement générale me croyaient-ils vraiment tous coupable? Le temps que j'analysais la situation Tsunade repartait déjà à l'attaque:

- Objection votre honneur les témoins oculaires sont des preuves fiables contrairement au jugement d'une machine et puis Shikamaru Nara a fait partit de la police et a également suivit l'entrainement des forces spéciales lesquels sont entrainer à menti, il peut donc aisément mentir. La colère transparait clairement dans ses paroles mais ça ne fit pas peur à Temari qui réplica avant même que Danzô puisse le faire

- Je suis une avocate du partie civil ce qui veut dire que mon client est un civil à l'heure qu'il est, il a donc droit au même droit que n'importe qui, l'expérience ne devrait pas porter préjudice à un homme, vous prenez trop cette affaire à cœur vous devriez garder vos opinions personnelle en dehors de tout ça. Avait-elle répliqué le plus froidement possible

Tsunade ne répondit rien attendant  désormais la décision du juge, une décision qui allait devenir cruciale pour la suite des évènements.

- Objection refusé l'accusé à ses droits, mademoiselle Sabaku je vous demanderais de ne plus attaqué Mme Senju sur ses sentiments et de ne plus m'interrompre à l'avenir, quand à vous Mr Nara vous serez interrogés par les deux avocates ici même lors de la prochaine séance durant laquel nous écouterons également différents témoignages

Personne ne répondit et je compris que c'était la fin.

- Bien, je mets fin à cette première séance portée l'encontre de Shikamaru Nara

Le marteau frappa l'enclume et je laissai échappé un soupir de soulagement, une main réconfortante vint se poser sur mon épaule:

- Allons rejoindre tes proches.

J'hochai la tête et la suivie avec un sourire de soulagement collée au lèvre et son sourire gravé dans la mémoire.