prologue

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Le bruit insupportable d'une ampoule qui explose me fait sortir de ma transe je décide de regarder autours de moi mais la lumière blanche tourné vers mes yeux me brule les rétines et m'empêche de réfléchir ou même de penser, j'entends un son lointain comme si quelqu'un me parle mais je ne distingue pas ce qu'on me dit.
Je vois Obito un collègue et un ami avec le regard pétrifier, mon chef à ses coté aborde un sourire sadique et me regarde avec une lueur de folie c'est ça voix à lui que je ne distingue pas je pense qu'il a compris que je j'entendais rien car ses lèvres cesse de bouger, j'essaye de nouveau à me concentrer pour recouvrer mon ouïe mais en vain, mes oreilles siffles ce qui me donne mal à la tête pourquoi je peux pas simplement aller dormir qu'est-ce que je fais là d'ailleurs? Je me sens tanguer dangereusement vers la gauche et me mets à vomir j'ai l'impression que l'intégralité de mes tripes y est passé, j'essaye de m'essuyer le visage et c'est la que je vois les menottes qui m'attachent les poignets, pourquoi j'ai des menottes? Je ne me sens pas bien j'ai un mauvais pressentiment et d'un coup mes oreilles se débouchent comme si une bombe avait explosé juste à coté me faisant sursauter et là la sentence tombe comme une guillotine:

- T'es fait comme un rat Nara j'ai enfin réussi à me débarrasser de toi.

Tel sont les mots qui sortent de la bouche de mon chef Madara Uchiha.
Depuis que je suis entré à son service au commissariat de police il a toujours eu une dent contre moi et essaye par tout les moyens de me mettre dans des galères pas possible, je ne comprends pas ce qu'il a voulu dire quand des collègues que je connais pourtant bien me prennent par les bras pour me soulever, il m'emmène dans une cellule dans un silence d'enterrement:

- Je ne te croyais pas comme ça... tu vas payer pour avoir commis ses crimes.

Je regarde mon collègue avec un regard plein d'incompréhension c'est Suigetsu qui a parlé un ami de longue date, je me rappele alors comment nous nous sonmes connu un souvenir tout bête mais plaisant dans ce genre de situation, on s'est rencontré à l'académie de police il avait oublié de prendre de quoi écrire et personne ne voulait l'aider alors je me suis avancer, me rappeler de ce passage de ma vie me donne une petite sensation de sécurité mais elle disparaît aussi vite qu'elle est venue en voyant le regard de mon ami au cheuveux étrangement blanc avec des reflets bleus, une lueur triste mélanger à de la colère brille au fond de ses yeux et ça me fait mal de savoir que ce regard est pour moi. Il finit par me tourner le dos et partir.
Je me regarde dans le reflet que m'offre le miroir disposé dans la cellule, mon visage est recouverts de sang sécher et de mon vomis je remarque aussi que le sang n'est pas uniquement le mien, je suis plein de poussière et on pourrait facilement me confondre avec un zombie, je tente de me nettoyer du mieux que je peux mais en découvrant une entaille sur le haut de mon visage je commence à me rappeler, doucement les morceaux du puzzle se reforment et comme dans un film les souvenirs affluent dans mon cerveaux me faisant tanguer encore plus à chaque instant jusqu'à me retrouver au sol assis sur les fesses un air horrifié comme si je venais d'apercevoir un fantôme, le peu de force qu'il me restait me quitte m'empêchant de me relever.

Tout etait arrivé la veille je mangeait à un dîner de famille chause banal en soit quand j'ai reçu l'appelle de mon supérieur m'ordonnant de partir pour une mission d'infiltration, des braqueurs de banques c'était refugier dans un immeuble abandonner et il m'avait ordonné de mener les opérations je devais m'engouffrer avec mon équipe dans l'immeuble pour neutraliser les malfrats chose facile sur papier mais pas forcément dans la réalité cette constatation c'est avéré alors qu'on venait d'entrer. Une fois à l'intérieurs tout à dégénéré, des coups de feux à n'en plus finir se sont fait entendre mes camarades tombaient un à un et le temps que je me rende compte que le tireurs était derrière nous c'était trop tard, il y avait un traitre permis mes camarades, je me suis retourné pour faire face au tireur mais je reçus un coup de cross en plein visage me faisant tomber à la renverse un coup dans le nez finit le travaille, j'eu quand même le temps d'entendre une conversation mais étant sonné j'ai été incapable de reconnaitre les voix:

- Vous pouvez y aller la voie est libre je m'occupe d'eux.

Les braqueurs devaient être autant étonner que moi car il ne répondirent rien mais j'avais entendu des pas de courses qui se dirigeait vers la sortie, je me rappelle que j'ai essayé de me relever mais un pied appuyé sur mon torse m'en empêcha je reconnu tout de suite Kiba qui me pointait avec son arme de service. Je me suis débattu et j'ai réussi à me dégager déclarant ainsi un combat au corps à corps son arme étant tombé au sol, entre deux coup il s'excusa les larmes aux yeux me disant que la somme qu'il avait reçu lui permettrait de payer une opération vital pour sa mère malade, puis tout s'accéléra je n'eu pas d'autre choix que de me jeter sur lui et le frapper comme je n'avais jamais frappé personne, il réussit par je ne sais quel moyen de reprendre son pistoler pour tenter de m'abattre mais je fut le plus rapide des deux... son corps avait chuté sur le sol taché de son sang dans un bruit étouffé.
Alors que je tentait de me relever en titubant les forces spéciale qui avait eu le temps d'arriver m'ont plaqué au sol pour me neutraliser après avoir reçu à nouveau un coup de cross je perdis connaissance pour me réveiller dans la sal d'interrogatoire.
Voila comment tout ça avaut commencé voilà pourquoi maintenant je suis roulé en boule retenant du mieux que je pouvais les sursauts et sanglots qui me traversait, le regard dans le vide à calculer toutes les possibles accusations portées à mon encontre, dans la plus délabrée des cellules ruminants les souvenirs et cherchant à comprendre.

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Yo nouvelle histoire publiée elle sera en publication lente mais bon j'espère sincèrement qu'elle vous plaira

pile vivre face mourirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant