Pretty Boy

Partie VIII

Alors que nous nous regardions intensément dans les yeux. J'observais dans son regard le reflet de la lune qui rendait ses yeux marrons encore plus beau et je crois avoir vu une etincelle dans ses pupilles. De l'amour ? Du désir ? Pourquoi je me pose ce genre de question ? Il est là et c'est le plus important. Juste lui et moi dehors.

Je peux ressentir son amour dans sa manière de me regarder mais je n'ai pas envie qu'il m'abandonne sans raison car J'ai envie de croire que c'est lui , j'ai envie de me dire que c'est lui et pas une autre. C'est ironique enfaite le fait d'avoir encore des sentiments pour son ancien meilleur ami de longue date, pour celui que je considérais comme mon frère, pour celui qui a fait de ma vie un tourbillon c'est possible car je n'ai jamais cessé de l'aimer mais je ne comprenais pas pourquoi.

Moi : Je n'ai pas envie de me coucher en pensant que nous avons un problème quelconque je n'ai pas envie de me dire qu'à cause d'une connerie tu puisses me laisses ça me donne des frissons dans le dos, il me regarde perplexe il ne comprend pas tirade mais il se ressaisit.

Suite à ma tirade il se dessine un regard espiègle sur son visage et il joue avec ses sourcils en les levant et en le baissant. Ce qui me fait rire.

Julien : Mais t'es con ou quoi ? C'est quoi cette tête de psychopathe ? Dis-je en pouffant de rire et toujours sur lui. Il n'est pas fatigué de me porter ou je ne pèse pas ?

Esteban : Non mais Je ne veux pas te forcer tu sais j... Je le coupe et il comprend aussitôt. Alors il se décide à me faire descendre surle sol.

Esteban : Alors je vais faire les trucs en grand ! Julien Orlando Arya voudrais tu de moi comme petit ami pour pouvoir te chérir, t'aimer , te combler de toutes les manières ? En mettant un genou au sol et en me regardant dans les yeux.

On dirait une demande en mariage mais sans bague. Ce qui est marrant car je sais qu'il ne blague pas sur ce genre de sujet. Il n'est pas de ceux qui aiment se mettre en couple. Mais je suis tenté d'accepter.

Moi : Oui j'accepte de te prendre toi, en le regardant dans les yeux. Esteban Pablo Gomez comme mon petit ami mais pas dans la tromperie et la rupture. Je sens qu'il change d'expression à mes mots mais il reprend vite ses esprits puisqu'il se lève et il sort de sa poche une chaîne que je connais très bien.

Esteban : Alors nous sommes officiellement un couple, dit-il avec un grand sourire, donc tu peux te tourner ? Je m'execute sans poser de questions alors qu'il se tient derrière moi je sens ses mains autour de mon cou et là il me serre très fort le coup je n'arrive plus à respirer convenablement et ma vue se trouble , je me débat autant que je peux mais je n'arrive pas à croire ce qu'il m'arrive il est entrain de m'étrangler je me sens mal.

Esteban : Je ne serais jamais avec toi tu me dégoûtes trop sale pédé. C'est la dernière phrase que j'entend avant de sombrer dans les ténèbres.

Alors je me réveille en sursaut mais alors ce n'était qu'un cauchemar mais pourquoi je suis habillé comme hier dans ma chambre mais ce mauvais rêve avait l'air tellement bien car j'ai bien sentit ses doigts qui étaient entrain de m'étranger, mais je soupire. C'était jute un cauchemar. Je regarde l'heure sur mon téléphone posé sur ma commode et il affiche une heure tardive. J'entend des pas se diriger vers ma chambre et je me fofile sous ma couette pour donner l'illusion que je dors encore. C'est alors que la personne qui montait les escaliers ouvre la porte de ma chambre sans demander la permission. C'est quand cette dernière entre qu'elle laisse échapper un soupire de satisfaction.

Ma mère : Je viens te prévenir que le dîner est prêt. Vient-elle me prévenir en me secouant légèrement puis s'en va en fermant ma porte derrière elle. Donc c'était bel et bien un cauchemar et on doit encore dîner donc rien de tout ça ne s'est passé. Je pense à la demande d'Esteban et je me met à sourire sous ma couette puis je me met à jubiler comme un gosse à qui on va offrir un cadeau.