Quelle belle ironie, n'est ce pas ?
Cette longue discussion, qui persiste,
Que nous avons encore, toi et moi,
Celle qui perpétue, qui existe.Tant d'années à ne jamais se comprendre,
A se découvrir chaque jour, à s'apprendre.
Ne jamais pouvoir être ensemble, s'aimer,
Aujourd'hui, il en né une forte amitié.Il semblerait qu'enfin nous ayons compris,
Comment interagir, parler et en rire,
Il ne fallait pas demander à être, à sortir,
Mais bien plutôt découvrir à être amis.C'est étrange, moi qui ait toujours eu,
Cette arrière pensée, celle bienvenue,
Qu'un jour peut-être, un jour sûrement,
Qu'un jour espérant, le temps viendra à temps.Mais tu vois, maintenant que tout a changé,
Que mon esprit s'éclaircit, que mon âme se libère,
Vient un futur nouveau, une nouvelle ère,
Celle où tout est lipide, tout est clarté.Mon amour, pour toi, qui passé les années,
A pris multiples formes, multiples envies,
Est maintenant d'un goût profond, sublimé,
Comme si, après tout ça, il avait grandit.Je suis si fier de moi, d'arriver à cette étape,
Cette éclair de génie qui me frappe,
Qui sans doute, vient après le tien,
Mais tout doucement, on y vient.Je peux enfin voir le monde frais, sans erreur,
Sans regarder en permanence dans le rétroviseur,
Penser clairement à quelqu'un,
Sans toi, comme pensée de fin.Il est difficile d'expliquer, à jamais je ne t'oublierais,
Mais il est maintenant clair, que mon esprit autrefois enivré,
Qui a passé toutes les étapes, d'un ancien alcoolisé,
Ne pensera plus à toi de cette manière, il le sait.Je soulignerai quand même l'ironie,
Que des jours entier, on ne s'est compris,
Mais qu'aujourd'hui, on gagne en force,
On parle et s'écrit, vraiment en morse !Tu étais mon amour, mon amant, mon petit coeur,
Maintenant, une confidente, une amie, la meilleure.
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La poésie d'un cœur brisé
PoetryDes jours racontés, des sentiments délivrés, des émotions exposées... il n'y a pas un mot qui n'ait pas de sens, il n'y en a pas deux qui visent la même chose et il n'y en plaint qui sont répétés. C'est ma poésie, celle qui vient de mon cœur, mon cœ...