L'air chaud, le vent frais qui souffle doucement,
Les grands arbres qui bougent lentement,
L'herbe fraîche à peine couper,
Dans le vert, la tête tournée.Le silence des mois chauds,
Chante et plonge dans de l'eau,
Au doux murmure des cigales,
Sans plus savoir, si tout va mal.Les gouttes d'eau sur le verre,
La fraîcheur, les doux courant d'air,
Le repos et la béatitude,
Perdre le temps, de son attitude.La détente, le repos, les nuits pleines,
Celles avec les lumières qui s'éteignent,
Le bruit, les cris, les bars qui rugissent,
La nuit folle des esprits qui surgissent...Les départs, les voyages, les absences,
Plus personne pour éveiller nos sens,
Le temps libre, la liberté, la folie,
Encore plus de temps pour trouver l'ennuie.Dans nos journées longues, cuisantes,
Parlant de celles-ci, comme les plus épuisantes,
Puis vient demain et on souhaite le retour,
Tendez la main, au désert et vautours.Deux mois de l'année où la température grimpe,
Où tout le monde est nu ou s'habille simple,
À la recherche du froid, de ce que l'on n'aime pas,
Des cocktails, de l'alcool, des fêtes où le monde somnole.Donc allez y, demandez-moi,
Pourquoi je n'aime pas ?
L'été chaud, humide et transpirant,
Où pour une fois... on a trop de temps.
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La poésie d'un cœur brisé
ŞiirDes jours racontés, des sentiments délivrés, des émotions exposées... il n'y a pas un mot qui n'ait pas de sens, il n'y en a pas deux qui visent la même chose et il n'y en plaint qui sont répétés. C'est ma poésie, celle qui vient de mon cœur, mon cœ...