Ange

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Tu me dictes ta pensée, d'un air triste,
Tu me tires de ton côté, d'une lueur défaitiste,
Tu m'emprisonnes de ton regard utopiste,
Puis de ton âme, tu me meurs et persistes.

Ces minables regardent en coin, bâtissent ma façon d'agir,
Ces mots mesquins en ligne me donne à me noircir,
Mais toi, tu restes là, tu restes à me voir m'affaiblir,
Mais toi, tu n'agis pas, tu restes là à me voir mourir.

La poésie d'un cœur briséOù les histoires vivent. Découvrez maintenant