Les larmes me viennent, tristement, quand le vent vient à me rappeler,
Que ces minutes ont compté, que ces souvenirs ont existé,
Que tu résides dans mon cœur, comme tu vis sur ma peau,
Que tu riais jusqu'au pleurs, comme tu pleurais ces gouttes d'eau,
Tu me brûlais le cœur et tu enflammais ma chair,
Autant par ton corps que par cette pluie,
Mais ces moments étaient clair,
Et jamais je n'aurais cru te voir avec lui.Aujourd'hui, tu n'es plus qu'une période, qu'un nom,
Tu n'es plus qu'un fantôme me frôlant dans les couloirs,
Ceux du passé, ceux des discussions d'amour en canon,
Demain, tu ne seras pas là, à me vouloir.Tu m'as tellement poussé à aimer, que jamais plus je ne pense pouvoir,
Tu m'as tellement fait douter, que jamais plus je ne pense croire,
Tu m'as trop détruit,
Que je ne sais même plus, qui je suis.Mais sans savoir, nous nous quittons,
Au fond, nous savions,
Qu'un matin, nous attendrons,
Mais maintenant, plus d'attention,
Mais maintenant, plus de passion,
Seulement des regards sans émotion,
Sans nos sourires de velours,
Sans même le souvenir de l'amour.
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La poésie d'un cœur brisé
ŞiirDes jours racontés, des sentiments délivrés, des émotions exposées... il n'y a pas un mot qui n'ait pas de sens, il n'y en a pas deux qui visent la même chose et il n'y en plaint qui sont répétés. C'est ma poésie, celle qui vient de mon cœur, mon cœ...