Crowded End

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Il est calme comme ça
Et alors ? Il reste fou !
Tant qu'il est ainsi, il ne fera aucune crise.
Mais enfin, vous savez bien qu'il est fou et le sera toute sa putain de vie !

Depuis l'enfance, Izuku et moi étions proche. Mais j'ai fini par m'éloigné, le rabaisser. Il était devenue celui que je détestais le plus, alors que je l'aimais plus que quiconque ne pourrait l'aimer. Personne. Au fond de moi, j'ai tout fais pour le dissuader de devenir héros, avec ou sans alter, je ne voulais pas qu'il soit en danger, je ne voulais pas qu'il souffre, par la perte de compagnons, ou bien de blessure. Mais j'ai peter une durite en le voyant finalement dans ma classe dans le lycée réputer pour former les héros de toutes sortes. J'avais les nerfs, comment avait-il trouver son alter ? COMMENT ? Et pourquoi ? Pourquoi était-il là, heureux alors qui savait que le métier de héros était beau comme tragique, que sauver des gens a un prix. Je l'ai haïs, mais je ne pouvais pas m'empêcher de l'aimer toujours autant depuis des années, je n'ai jamais cesser de l'aimer, même après son coma. Comment ai-je pu être aussi faible, tellement faible. Izuku avait fini à moitié mort, perdant connaissance et fini par perdre tout souvenir de moi un an et demi plus tard, lors de son réveil. Je savais qu'il m'aimait, mais il avait perdu cet amour en même temps que sa mémoire, et cela me faisait tellement de mal? Je ne pouvais plus l'aimer, aimer quelqu'un qui ne vous connait plus... J'ai prétendu ne plus l'aimer autrefois alors que tout était totalement faux, j'ai inventé une crise de nerf, de la haine profonde alors que je ne pensais rien de tout ce que je disais, et j'ai tout regretter lors de ce réveillons de noël. Ce merveilleux réveillons, celui qui nous as mis ensemble, et qui pourtant je haïs. 
Au fond, comment un être aussi horrible peut-il être heureux ? Si jamais lui et moi étions sortie ensemble dès ce jours, rien de cela n'aurait exister. Je dors dans une pièce blanche, aucune décoration, aucune saleté, cela m'en débecte presque.
Le lendemain de ce réveillons, lui et moi avions décider de déclarer notre couple que très peu accepter par nos parents respectif, alors nous avions décider de partir, partir loin, loin d'eux. Au fond, que faire d'un métier de super héros si nous ne pouvons pas être des héros dit normaux pour nos parents ?
Il avait voler les clés de voiture de sa mère et nous sommes parties. Il conduisait, et moi j'étais passager. Nous n'avions rien sur nous et c'était de la pur folie, c'est bien le cas de le dire, mais on s'en fichait, on s'en fichait plus que tout. On s'en fichait tellement qu'on avait fini par rentrer en collision avec une voiture sans trop s'en soucier. Après tout, les airbags allait nous sauver. Mais nous avions penser trop vite, tellement vite. Izuku avait heurter le volant de pleins fouet, sa mâchoire tombait, le sang ne cessait couler de sa bouche, tel une fontaine d'eau. Le spectacle me faisait horreur, mais il m'excitait tout autant. Il était mort, et moi vivant, les os de mon bras droits était bien défoncer et ça faisait un mal de chien, des verres c'étaient incruster dans la peau de mon visage, la ceinture m'avait fait horriblement mal, mais je souriais. L'homme que j'aimais était mort et le spectacle me plaisait, alors pourquoi est-ce que je pleurais finalement ? À cause de la douleur, mais où ?
Mon cœur me faisait un mal de chien, et j'en pleurais. L'homme que j'aime plus que tout est mort, parce qu'on s'en fichait de tout.

Il va se réveiller vous pensez ?

Patience..

Mais enfin, pourquoi le laisser ainsi ?! Il est complètement fou

Fou oui, mais vous oubliez le fait qu'il est un homme hors du commun, un homme qui a su gérer sa folie dans l'imaginaire

Et c'est un exploit pour vous ?!

Oui très chère, très peu de fou on réussi a vivre "normalement" après la mort d'un compagnons tant aimer.

Mais docteur..

Taisez-vous.


La vue que j'ai eu pendant plusieurs heures fini par m'écœurer, mais j'étais dans l'incapacité de tourner la tête, mon cou refusait de faire ceci. Et finalement, j'entendis la sirène des pompiers, ceux qui allait me retirer cette vue horrible sur l'homme devenue hideux. Je pouvais parler, et les pompiers furent surpris sur le moments.

- Il est mort ?

- Qui donc ?

- L'homme qui conduisait espère d'enculer.

- Mais monsieur.. Vous êtes le conducteur...

Au début, je ne croyait pas cette imbécile, mais lorsque j'eu la vue sur la voiture, je n'aperçus personnes. L'airbag du volant était encore gonflé, recouvert de sang, tandis que celui côté passager était gonflé, mais blanc comme neige. Je ne comprenais pas, pourquoi n'était-il pas là ? Pourquoi Izuku n'était pas là ?

Suite à mon hospitalisation, les médecins m'ont informer que j'allais être transferer dans un endroit parfait pour moi, un endroit où j'allais être accompagner de gens qui me sont inconnu, mais finalement comme moi.
Cette immense bâtiment blanc n'avait rien de spécial, à part ces habitants, et j'en faisais dorénavant partie.
Des gens m'écoutait dans mes discours, il notait ce que je disais avec un tête totalement neutre, il me méprisait, cela ce voyait. Je devenais fou. Après tout, comment ne pas l'être lorsque la seule couleur qui t'entoure n'est rien de plus que du blanc, du blanc, et du blanc. Du blanc partout, du blanc à droite, du blanc à gauche. J'avais beau me plaindre que j'allais devenir fou, on me répondait que je l'étais déjà.

Je m'appelle Bakugou Katsuki, j'ai 25 ans, j'ai tué mes parents, mon meilleur ami ainsi que la mère de l'homme que j'aime, lui même mort lors de notre année de seconde dans son coma. Je suis dorénavant le fou allié n°1 d'une hôpital psychiatrique réputer pour sa beauté et son bon travail sur leurs patients. Je suis l'être le plus immonde de l'humanité sûrement, et j'ai vécu 2 ans dans la folie et l'imaginaire, afin de vivre une belle vie qui n'arrivera jamais.

Crowded [ KatsuTodoDeku ] TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant