Horreurs mortelles🔥

Chapitre 10 -L'heure des meurtres-

Je quitte Théo pour rejoindre l'arret de bus. Je n'ai pas fait attention à l'heure ! Pourvu que mon bus ne soit pas déjà partit !

J'arrive juste à temps et monte dans le bus. Après une bonne heure de route, je descend devant une grande une maison grise, ses les volets sont clos, normalement il n'y a personne à l'interieur. Je me cache derrière les buissons et attend impatiament Marie-Lou qui ne devrait pas tarder à rentrer chez elle.
Lorsque qu'une jeune femme s'approche de moi, mon souffle se coupe, c'est une fille super belle. Ma main resserre l'énorme couteau de bouché que j'avais aiguisé avec soin spécialement pour ce soir. Marie-Lou entre dans la bâtisse en laissant la porte grande ouverte derrière elle. Je sors des buissons et me glisse dans la maison. Je longe le grand hall et pour ne pas me faire remarquer je me cache à coté de la porte de la cuisine, collé à mur tout en observant discrétement ma prochaine victime. La jeune femme range ses courses tout en chantonnant "Allumer le feu" de Johnny Hallyday. Profitant d'un moment d'inatention de sa part je me jette sur elle et la poignarde dans le dos jusqu'à éffriter sa colonne vertebrale. Marie-Lou lâche un cri strident de douleure, comme si son coeur c'était arrêté de battre et que sa respiration s'était bloquée, elle restait immobile, comme figé dans la glace, je retirais brusquement le couteau ensanglanté. Je sentais que quelque chose venait de tomber sur mon pied, j'abaissa la tête et vit un morceau de chaire qui avait dégringolé de son dos. Le sang recouvrait entièrement le sol. Je murmurais à l'oreille de la femme《Ta mort est proche, tu ignores qui je suis, tu est certe innocante mais je vais te tuer. Vu que tu vas être ma première victime, tu as le droit à une faveur: "je transmettrais tes dernières paroles à ton père"》. Des paroles ou plutôt des bagayements sortaient lentement de la bouche de ma victime. Je faisais doucement passer la lame de mon couteau le long de son dos, la femme se mettait à frissonner, quand tout a coup elle se leva brusquement son poing et me frappa, ensuite elle se précipita sur un tiroir et en sortit un gros couteau. Dans son regard je sentais la panique et l'envie de s'enfuire, ce qui me procura une grande satisfaction.
Elle s'enfuit à toute vitesse jusqu'à arriver devant la porte d'entré, là elle tenta de l'ouvrir, a plusieurs reprises avant de rendre compte que celle-ci et fermée à double tour et que la clé estait entre dans mes doigts!

Cela me laissa le temps de la rattrapper et de lui écorcher la jambe. Elle brandit son arme avant de me foncer dessus et d'essayer de me poignarder, mais manque de chance pour elle je savais très bien me défandre et j'arriva à esquiver toutes ses attaques. Un combat de couteau etait lancé, les tentatives de meurtres s'enchainent les unes après les autres, je dois avouer que mon adversaire etait assez douée mais pas assez pour me tuer!! Ha.Ha!! Au bout d'une dizaine de minutes, son couteau est à terre et le mien contre son coup, je la maintient fortement afin qu'elle ne puisse ni bouger, ni s'échapper puis je l'emmène dans le garage pour lui ligoter solidement les mains et les poignets avec une corde qui était acrochée au mur. Je lui dechire son ti-shirt pour lui enfoncé dans la bouche afin de l'empêcher de crier.

Ensuite j'installa ma victime, de sorte à ce qu'elle soit allongé perpendiculairement à la porte du garage.

Je pars me cacher derrière une moto.
Les minutes défilent et toujours rien, personne ! J'espère que mon plan sadique ne va pas échouer...😨

Soudain la porte du garage s'ouvre en grand, une voiture entre rapidement dans le garage sombre. Je fixe attentivement la scéne, une éclaboussure de sang s'écrase brutalement sur ma joue.
Mon plan se déroule à la perfection pour le moment. L'homme sort de sa voiture inquiet de savoir ce qu'il a écrasé, et quand il voit avec dégoutation ce que c'est, il manque de s'evanouïr, son corps tout entier se mit à trembler de terreure, sa peau devint aussi blanche que la neige. Bastien vient de tuer sa fille adorée!☠!

Il sort son télephone de sa poche pour appeller une ambulance, et c'est le moment pour moi d'intervenir. Je sors de ma cachette, et suprends Bastien par derrière, mes doigts compressent les nerfs de son cou afin de l'immobiliser. Je regarde le cadavre de plus près tout en reserrant mon entreinte, les roues on ecrasées le milieu de la tête et les cuisses de Marie-Lou, sa chaire et dispersé tout autour d'elle, son oeil est sorti de son orbite et roule encore dans la marre de sang au sol, jusqu'à percuter le reste de main en bouillie.
J'avais fais en sorte que sa main soit collée à son oreille, avant l'accident.

Mon regard se posa ensuite sur les jambes ensanglantées de la femme, du moin ce qu'il en reste, je distingue difficilement ses os confonduent dans le rouge, la jambe de gauche est totalement séparée, coupée du reste du corps ! Quel spectacle réjouissant !

Je traine le lourd poids dans mes mains dans la cuisine, et je l'attache solidement à une chaise, Bastien ne bouge pas, il ne pleurs pas, il est sous le choc, mais bientôt il réalisera son énorme erreures, celle d'avoir écrasé sa fille sans avoir fait attention au sol du garage! Je pense que ça lui servira de leçon !

J'aggripe la nappe de la table et la tire violement vers moi, les vases tombent par terre et se brisent en milles morceaux ainsi que tout ce qu'il y avait sur la table, Bastien frissonne de peur, moi je sourie de ma méchanceté, ensuite je m'assoie en face de lui, la table en chêne est vide mais plus pour très longtemps! Je lance un regard malfaisant au policier avant de lui dire 《Tu as faims? 》sans attendre de réponse j'ajoute 《Peu importe de toute façon tu seras obligé de manger! Je reviens dans une demie heure te servir le...repas!😈☻》

Une demie heure plus tard:
《Il est l'heure de manger !》criès-je à Bastien...

Fin du Capitre 10