Quand je me réveillai le lendemain, je me demandais de suite si j'avais rêvé. La présence de Marie à mes coté et le fait que je sentais mon sexe en feu me montra que ce qu'il s'était passé cette nuit était réel.
Marie m'avait mis une dizaine de coup de martinet sur les fesses. Ils n'avaient pas été trop appuyé mais cela avait rougit mon beau petit cul comme Marie me l'avait dit.
En revanche quand elle me demanda de me mettre sur le dos et de bien écarter les jambes, les deux claques à mains nues qui s'abattirent sur mon sexe me donnèrent l'impression que mon clitoris était arraché. Des larmes coulèrent sur mes joues tellement la douleur était vive.
Marie : « Tu vois ce qu'il arrive quand tu n'es pas sage. La punition a été sévère »
Manon : « Marie j'ai aimé j'aime ce que tu me fais. Je n'ose pas encore exprimer tout mais saches que j'aime.... »
Marie : « Ecartes les jambes je vais calmer la brulure »
Marie mis sa tête entre mes jambe et me lécha doucement mon bouton douloureux. Le plaisir fut instantané. Après plusieurs minutes de ce délicieux supplice, Marie compris que je retenais mes gémissements.
Marie : « Exprimes toi lâches toi.... »
Manon : « Je vais essayer.... J'ai envie d'être ton élève que tu me punisses et que tu me fasses jouir comme maintenant.... Je suis en train d'imaginer que tu me prépares à me faire défoncer .....
Marie me fit jouir 2 fois avec sa bouche. Et ensuite m'invita à dormir contre elle....
Je commençais à bouger. Cela réveilla ma professeur...
Marie : « Bonjour ma puce, comment vas-tu ? »
Manon : « Plutôt bien juste que cela chauffe un peu.... »
Marie : « Vas prendre ta douche ensuite je te mettrais une crème apaisante. Ensuite petit déj en ville shopping mais aussi nous allons faire toute belle ta petite chatte »
Après ma douche Marie m'appliqua une crème pour calmer les morsures que ses mains avaient infligées à mon pubis.
Marie : « Tu mouilles déjà, je vois ta cyprine s'échappé de ton vagin..... Vivement que Sylvain profites de cela. Tu sauras qu'il est assez bien monté et qu'il peut être endurant. Je redoute que lorsqu'il te baisera qu'il aille loin. Tu risques d'avoir mal par la suite voir pendant l'acte »
Manon : « Si tu es avec moi, il pourra me défoncer comme toi tu le voudras »
Marie m'emmena par la suite dans le centre de Fontainebleau. Nous rentrâmes dans un salon de thé ou nous primes notre petit déjeuner. Notre conversation portait sur mes études ma famille son travail... A la fin de notre collation, Marie me dit :
Marie : « Il est temps que nous passions chez l'esthéticienne, on va s'occuper de ta petite chatte... »
En rentrant dans l'institut, je compris que Marie avait déjà pris rendez-vous car la dame qui nous reçut dit : « Bonjour Madame XXX, c'est bien pour la jeune fille comme vous me l'avez indiqué lors de notre entretien téléphonique. Nous partons sur un forfait pour tous le corps c'est bien cela ? »
Marie : « Oui c'est cela, et comme je vous l'avais dit comme cela est sa première fois.... »
L'esthéticienne : « Oui ne vous inquiétez pas vous pouvez l'accompagner »
Je me retrouvais allongée sur le dos, nue sur une table. On s'occupa de mes jambes de mes aisselles avant de passer à mon intimité...
L'esthéticienne : « Mademoiselle, veuillez bien écartez les jambes »
Je m'exécutais, alors que Marie assise en face de moi regardais avec un regard ma foi qui me sembla sévère. Une fois la première bande de cire posée, la douleur que je ressentis au moment où on tira dessus me fit pousser un petit cri. Je regardais Marie et effectivement son regard était vraiment dur. L'opération se renouvela plusieurs fois mais là je n'exprimais pas du tout ma douleur. L'esthéticienne s'occupa alors des derniers poils cachés par mes grandes lèvres. Je pensais l'opération finie mais Marie précisa :
Marie : « Le forfait comprend aussi l'entre fesse n'est-ce pas ? »
L'esthéticienne : « Bien sûr Madame XXX ! Mademoiselle pouvez-vous mettre à genoux et bien vous penchez. Votre tête doit être appuyée contre la table. Relevez bien les fesses et écartez les jambes »
Je me mis dans la position demandée et je compris de suite que j'exposais non seulement mon sexe mais aussi mon anus ainsi positionné.
On s'appliqua à ne laisser aucuns poils disgracieux non seulement sur mes fesses mais aussi tout autour de mon anus.
Une fois l'opération terminée, on me massa avec une crème hydratante et apaisante. Je remis mes vêtements et suivie Marie pour aller faire du shopping. Une fois dans la voiture je sentis le regard toujours sévère de Marie sur moi.
Marie : « Bon Manon quand on rentrera je vais te punir tu sais pourquoi ? »
Manon : « Je pense savoir, j'ai bien senti que je mouillais quand on m'épilait »
Marie : « Tout à fait, je vais donc te chauffer ton petit cul à la maison. Mais pour l'instant, nous allons acheter tes vêtements et planifier ta rencontre avec Sylvain. Déjà la lingerie... Tuas un tout petit choix de décision c'est moi qui aurait le dernier mot ok ?»
Manon « Oui, et entre nous je suis impatiente d'être punie »
Nous arrivâmes dans une boutique de lingerie ou Marie était connue. On nous fit passer dans une cabine réservée spécialement aux très bonnes clientes. Marie chuchotait avec la vendeuse. Celle-ci partit chercher des affaires.
Marie : « Mets-toi nue »
Quand la vendeuse revint les bras chargés d'ensemble de dentelle, elle ne s'offusqua pas de ma nudité.
La vendeuse : « Mademoiselle, enfilez cette paire de bas noire, les ensemble que vous allez essayer sont des 3 pièces comprenant un porte jarretelle. Il faut les comparer avec une paire de bas »
L'essayage fut instructeur. Ainsi j'appris qu'il fallait toujours mettre le porte jaretelle en premier ainsi on pouvait enlever le string ou la culotte sans enlever les attaches du porte jaretelle. Marie choisit 3 ensembles et nous allâmes aussitôt acheter 2 robes noires ainsi qu'une jupe et un chemisier.
Sur le chemin du retour nous avons convenus que le week end suivant serait celui de la rencontre avec Sylvain. N'ayant pas cours ni le jeudi et le vendredi j'arriverai mercredi soir et je resterai chez eux jusqu'au lundi soir. Marie ferait prendre congés à Sylvain pour une raison quelconque.
Je quittais la voiture et alla directement dans ma chambre, j'enlevais tous mes vêtements et me mis en levrette sur mon lit. Marie arriva derrière moi avec une cravache en main.......
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Ambitieuse....? Oui
No FicciónLe récit qui va suivre est l'histoire de ma vie d'étudiante sur Paris. Les faits relatés sont réels et se sont déroulés il y a 6 ans. Je n'invente rien, n'embellis rien je vais juste écrire ce que j'ai vécu ou ressenti. Les prénoms, références à des...