Différents // h.s

Chapitre Vingt-Six

Quand j’étais finalement rentrée chez moi, mes vêtements étaient complétement trempés et je dûe courir pour rentrer chez moi. J’enlevai mes chaussures et montai à l’étage, me déshabillant une fois enfermée dans la salle de bain. Je m’installai dans la grande douche, fermai les portes en verres et actionnai l’eau chaude qui fouetta mon corps.

« ce que tu ne comprends pas c’est que je commençais à t’apprécier, et plus que je ne le devrais ».

La phrase se répétait en boucle dans ma tête. Est-il possible qu’Harry est eu des sentiments envers moi ? Non, non c’est impossible ; il paraît si indifférent à mes côtés. Mais pourquoi aurait-il dit ça aussi ? Mais qu’es-ce qu’il voulait dire ?

Plusieurs questions tournaient dans ma tête, me faisant devenir folle, j’avais besoin de réponse, et le fait qu’Harry soit partit d’un coup après avoir dit ça me rend encore plus énervée.

Je devais lui parler, mais pas par téléphone ; en face à face. Puis je me rappelai que nous étions vendredi et que les vacances commençaient.

Quand je m’installai sur mon lit, les cheveux trempés étalés sur mon coussin, mes pensées divaguèrent à nouveau vers Harry. Es-t’il possible que je me fasse juste des idées ? Que j’avais mal compris ce qu’Harry avait dit ? Une grande partie me disait que j’avais juste mal compris, mais d’un autre côté, j’espérais fortement que j’avais raison, et qu’Harry ressentait les mêmes sentiments pour moi que j’ai envers lui.

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Quand mon réveil sonne à 8h, je grogne et retombant dans mon lit, frappant des pieds contre le matelas, ma tête enfoncée dans mon coussin.

Mon deuxième réveil sonne, et je décide finalement de me lever. Enlevant mon teeshirt, j’enfile ma brassière de sport rose fluo et met un pantalon de course noir qui s’arrête à mi-mollet. J’enfile un gilet gris pour cacher mon décolleté, me fais une queue de cheval sur le haut du crâne et attrape mon Ipod et mes écouteurs.

Je descends les escaliers à toute vitesse, attrape une bouteille d’eau fraîche dans le frigo et fais attention à bien fermer la porte d’entrée derrière moi en partant. Une fois dans mon jardin, je met mes écouteurs et saute 20 fois sur place, m’étirant. Je prends plusieurs gorgée d’eau et commence à courir tranquillement sur le trottoir jusqu’au parc à plusieurs centaines de mètres de chez moi.

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Quand arrive 10h30, je suis de retour à la maison et finis ma bouteille d’eau avant de la jeter à la poubelle et de courir dans les escaliers, complétement transpirante.

Arrivée dans la salle de bain, je balance mes vêtements de course dans ma corbeille de vêtements sales et entre dans la cabine de douche.

L’eau chaude relaxe mes muscles et je m’appuie contre le mur de la douche pour reprendre encore ma respiration. Je me savonne et petit à petit je tourne l’eau pour qu’elle soit plus fraîche. L’eau chaude et vite remplacée par un jet froid et mes muscles sont tous en éveils. Je sors de la douche et attrape une serviette de bain dans laquelle je m’enroule.

Je sors de la salle de bain et laisse la porte ouverte pour aérer. Je choisis un teeshirt blanc simple en col en V et un jean slim que j’enfile par-dessus mes sous-vêtements fraîchement enfilés.

Je me brosse les cheveux que j’attache dans un chignon au-dessus du crâne, me lave les dents et descends dans la cuisine.

-          Bonjour Mademoiselle, me salue Annie, la nourrice.

-          Bonjour Annie, saluais-je poliment en ouvrant la porte du frigo.

-          Voulez-vous que je vous cuisine quelque chose ? Demande-t’elle.