Des fois, on écrit des choses et ... on les publie pas, ou on les retire...
Ce livres est là pour montrer mes projets avortés ou les choses que je n'ai pas poursuivit
Inutile de m'en demander des suites par conséquent
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Il fait froid, très froid même. Asriel a refermer la porte derrière nous. Nous sommes dans une sorte de forêt. Les arbres sont vraiment haut. Je me surprends à me demander s'ils ont une fin, car théoriquement, on est toujours sous terre...
La neige craqua sous nos pieds, je frisonne mais je suis ravie, voilà si longtemps que je n'avais pas vu la neige.... pourtant j'adore ça.
Je tourne sur moi même, enchantée de se décor blanc si pur. Ashley a dû se douter que je mourrais de froid, elle retire sa veste et me la tend
-Non Ash.. -Aria, je veux pas que tu tombe malade
Je soupire avant de la passer sur mes épaules. Sa veste est chaude et douce, je me sens si bien dedans, en sécurité, bien que j'ai envie de la rendre à sa propriétaire. Bah oui, Ashley est en short-soutien-gorge dans la neige. Elle ne s'habille jamais chaudement, car c'est plus facile de bouger ainsi d'après elle, mais je sais qu'elle doit avoir froid
-Ash, reprends ta veste.
Elle me sourit sincérement
-Ne t'inquiète pas, j'ai que la peau sur les os, je suis un cadavres, un squelette... J'ai pas assez de chair pour avoir froid. -Ash... -Toi, tu as tes jolies joues ronde et tes grand yeux à tenir au chaud
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Je soupire. avant de lui prendre la main et d'avancer sur la piste enneigée. Aria oublie souvent que de ma vie, je n'ai que très rarement était malade et ma résistance au froid en avait toujours choquée plus d'un. Ses adorables joues sont rougis par le froid, je lui sourit. Nous marchons d'un pas calme, nos chaussures s'enfonçant dans les flocons produisent des bruit sourd.
Crack
Je suis aux aguets, le bruit venait de dèrrière nous. Je fais passer Aria devant moi, nous machons quasiment en fille indienne. Elle tremble un peu, je presse ses épaules l'air de dire "ça va aller..." Nous approchons d'une sorte de pont en-dessous d'une ... barrière ?
Les bruits se sont raprocher. Je sais ce que je dois faire.
J'active ma détermination, une hallebarde, une sorte de grande lance avec au sommet une pointe ensercler par une lame de hache et d'un crochet. L'hallebarde est d'une couleur violette, tirant davantage sur le bleu, elle est plutôt indigo en soit. Je la garde contre mon torse, essayant de faire en sorte qu'elle ne se voit pas depuis mon dos, la tenant vers le milieux de la barre
