Chapitre 4

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-Eh bien.. Y a-t-il quelqu'un qui n'a pas été nommé?
Une voix familière s'exprima au fond opposé de la salle.
-Moi madame.
Je me retournais exactement comme les autres 42 élèves a l'endroit où la voix s'était manifestée et.. Oh non. Tout sauf lui.. Mes lèvres se retroussèrent légèrement sur mes dents.
-Merde. Soufflais-je dans ma barbe.

L'attrocement magnifique visage balafré que j'avais vu à la bibliothèque était assis à l'antipode du coin sombre et poussiéreux où je m'efforçais de m'accorder avec l'ombre de l'angle. Curieusement, il n'adoptait pas un comportement de beau gosse qui avait les filles de première classe à ses pieds. Il avait l'aire intimidé, apeuré, des rides d'inquiétude marquaient son front, ce qui avait le dont de le rendre soudainement beaucoup moins charmant. C'est quand que je m'en rendis compte que j'essayais de déchiffrer mon expression. Avais-je l'aire aussi.. Vieille? J'essayais de me détendre mais comme d'habitude,c'était sans franc succès.
-Quel est votre nom? Dit madame Lusept en jetant un bref regard par dessus ses lunettes en demis lunes qui ornaient ses yeux ridés.
-Ashton Irwin.. Dit-il en se renfonçant dans sa chaise.
-Je vais ajouter votre nom a bas de la liste pour que je puisse... Madame Lusept n'eut pas le temps de finir sa phrase que de petits coups hésitants heurtèrent la porte de basse qualité.
-Entrez! Cria l'enseignante faisant sursauter presque tout les élèves de la classe (excepté ceux qui avait encore la trace de leur oreiller imprimé sur la joue et que la bave coulait inconsciemment sur leur agenda). La porte s'entrouvrit lentement pour en laisser entrez une filles, au premier regards qui avait l'air très timide, malgré la beauté qu'elle émanait.
-Désolée, je me suis perdue.. Souffla-t-elle d'une voix a peine audible.
-Eh bien j'espère que vous vous ne perdrez pas sur le chemin qui mène à ton bureau jeune fille. Siffla l'enseignante. Un rire collectif anima la classe, tous riaient sauf moi et peut-être d'autre intelligents. La jeune fille s'empourpra et cala sa tête dans ses épaules. Geste complètement inutile qu'elle pensait sûrement pouvoir réduire ainsi sa grande taille. Elle s'assit près de moi. J'ai failli crier. Elle était folle?! À croire que je supposais aussi avoir la peste, c'est la seule et unique personne qui m'avait approcher depuis de terribles années et je ne voulais pas de elle. Elle avait l'aire trop haut classée pour moi, c'était sûrement une ruse qu'elle avait fait avec sa bande d'amies toutes plus cruelles les unes que les autres, elle voulait pas mon amitié, elle voulait mon mal. Sinon, c'était purement impossible. Elle replaça nerveusement un mèche de cheveux couleur mauve foncé de devant ses yeux pères derrière son oreille et le professeur l'interpella de nouveau;
-Quel est votre prénom mademoiselle? Dit-elle la voix tranchante comme un couteau sans même lever ses orbites creux de sa liste. J'en présuma qu'elle n'aimait pas trop les retards.
-Mary-Ann Sidecoast
-Bien.
Et le reste du cours se déroula le plus normalement possible, sans compter le blabla inutile d'au moins trois quarts d'heure du début d'année. Le prochain cours que j'avais était les arts. Un de mes cours préféré, c'était le seule moyen que j'avais trouvé depuis que j'étais un risée de m'exprimer comme je le voulait, parce on s'entend bien pour dire que un pinceau et un tableau ne peux pas te juger.

-Aujourd'hui vous allez peindre ce qu'est le bonheur à vos yeux. Vous savez ou est le matériel. À vos pinceaux! S'esclaffa monsieur Hoarts avec un sourire fendant son visage naturellement pourpre en deux parties bien égales découvrants ainsi ses dents inégales et disproportionnés. Pendant une heure de temps seulement quelques murmures vint briser le lourd silence de concentration qui régnait dans la classe.
-Et c'est terminé! Dit-il en appuyant trop fort sur le bouton de minuterie sur sa montre jaune tachée de peinture. Un à un vous devrez présentez votre peinture et pourquoi vous avez choisi ceci. Reprit-il de plus belle.

Donc, tous, tour à tour présentèrent leurs peintures, et soyons honnête certaine, très laide, et expliquèrent pourquoi ils avaient peint cela. Tous, exactement TOUS représentaient des bonheurs matériel. Exemple, je vis à plusieurs reprises des oeuvre de la personne avec son amoureux, ou son chien je ne sais pas. Je trouvais mon idée beaucoup plus logique... Mais j'étais quand même sceptique, même si ça aurait été parfait, les gens auraient trouvé une manière de se foutre de ma gueule.
-Et vous mademoiselle Crawford? Qu'avez vous peint? Dit-il en m'arrachant sèchement de mes pensés. Mon pouls s'accéléra rapidement, les yeux était tous sur et moi et mes yeux roulèrent dans leur orbite. Pendant un horripilant instant je crus que j'allais m'évanouir comme une faible devant les autres 42 monstres. Je repris le contrôle de moi et agrippa ma toile en essayant désespérément de contrôler mes tremblements. Je la retourna tranquillement pour que mon oeuvre soit visible par tout le monde, sur certains visages je lus l'incompréhension et d'autres s'enfouissaient le visage pour retenir leurs ricanement de racaille.
-J'ai peint un...
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Commentez si vous avez lu j'aimerais avoir plus d'avis pour savoir me guider vers ce que vous aimez. Merci :)

Wirrow Crawford.Where stories live. Discover now