Dans les rues étroites, la ville fait résonner sa voie.
Elle se répercute sur les parois grisées des dalles des trottoirs et des pierres murales, peut être celle de nos pierres tombales. Le souffle des véhicules gonfle les poumons embrumé de la fumé des cigarettes. Ces gens, représentés par le Y parlant, cours sans se soucier du temps, pendant que d'autres marchent sans penser à leur vie. Mais auraient-ils conscience de leurs problèmes ?
Qu'importe en réalité leurs vies rêvées, si elles se perdent dans la pénombre des coins de rues perdus.
Jeune citadin accompagné par son destin, ses objectifs lointains l'éloigne dès le matin de son passé éteins. Que la brise de la Mère le ramène à son cocon et qu'elle lui insuffle à nouveau l'envie d'aimer et de ne point trépasser.
L'ennemi du désespoir est l'espoir, mais celui du jeune homme est le rejet.
Que sont devenus, ses personnes, auparavant connues ? Quelqu'un qui n'est plus que pour lui un brin de poussière, ou celui qui le rattrapera avant de sombrer en Enfers ?
"Vitae in omnis homo vicet, ex eo sonium dormit."
Une vie vit dans chaque Homme puisque un rêve dort.