🖤 Chapitre 2 🖤

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You are the reason I'm smiling

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You are the reason I'm smiling.

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... le lendemain matin ...

Je me suis réveillée très tôt aujourd'hui. J'étais seule et le soleil ne s'est pas encore levé. Ma mère n'étais pas rentré hier et son putain de mari non plus. J'imagine qu'ils ont passé la nuit au bureau. Alors je décide de me lever et de me préparer un petit déjeuner...seule...encore une fois... Depuis la mort de mon vrai père, rien n'était comme avant. Jamais une seule journée ne se passait sans une bagarre entre ma mère et moi. Elle avait tellement changé depuis qu'il est parti. Elle est devenue comme quelqu'un d'autre. Je secouai la tête. Il faut que je me ressaisisse. Penser au passé ne me fera rien de bien. Je suis seulement à mon deuxième jour à U.A., je ne devrais pas être triste ou quoique ce soit. Je termine vite mes tartines au Nutella et je m'habille de mon uniforme avec mes collants noirs. Puis je reste un instant devant le miroir. Un petit sourire timide se dessina sur mes lèvres.

- ... J'espère que t'es fier de moi...Otōsan...

Je sorti de la maison, des écouteurs aux oreilles. Je marchais tranquillement avec comme musique "Lemon".

J'aime la musique parce que ça me libère, comme si je vivais dans un autre monde, une autre histoire, une autre vie. Et je préfère parfois les chansons tristes parce que je sens que les paroles me décrivent, parlent de mes ressentis, de ma peine. Oui c'est vrai c'est chelou. Mais bon.
J'étais tellement concentrer sur les paroles de la chanson, que je percutai quelqu'un. Je relevai la tête et voyais...

- Bakugo?!

- La nouvelle ?!

On se regardait un moment avant que je ne soupire, déjà fatiguée.

- Tu sais, la nouvelle, elle a un nom..., commençais-je.

- Ouais mais m'en fout.

- Bref, je ne savais pas que t'habitais dans le quartier, continuais-je, essayant de parler normalement, comme des gens civilisés.

- Parce que j'suis censé dire où j'habite ? demanda-t-il, un souci le levé.

Je souffle, exaspérée.

- T'es pas un garçon facile...je plain ta mère..., dis-je d'un murmure.

- Tu ne devrais pas..., répliqua le blond.

Puis un blanc se plaça entre nous. Je m'ennuyais tellement que je commençai à sauter sur les flaques d'eau comme une enfant. Je voyais que le blond s'en foutais de ce que je faisais, alors je décidai de l'éclabousser. M'en fout de sa réaction.
Quand il fut assez mouillé, il se retourna, me lançant un regard noir et me cria.

What's a soulmate? [EN RECONSTRUCTION]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant