Chapitre 21 Jay

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Je me réveil, dans un lit... la sensation de fou...

J'ai même plus envie de bouger tellement je m'y sens bien.
Je tend le bras pour rapprocher ma femme et trouve... rien.

Bordel me dites pas que c'était un rêve... putain j'ai pas pu rever cette nuit ?

En panique, j'ouvre les yeux et me lève d'un bond.

Bordel ! J'ai pas rêvé, je suis vraiment libre, dans la chambre de ma femme.

Je vais dans la salle de bain pour me doucher.
Je repense a cette nuit... A tout ce qu'on a fait...
Je sais même pas comment elle a pu se lever ce matin, je l'ai démontée.

Après une bonne douche je remets que mon boxer et descend la retrouver.

Elle est dans le salon, assise sur le canapé, Dean mon prez, ma mère et Stone sont présent.

Je me dirige vers ma femme, bascule sa tête en arrière et lui pose un gros baiser sonore sur les lèvres.

- Bonjour bébé lui dis-je.

- Bonjour chéri me répond-elle.

Je prends le temps de saluer tout le monde et me pose a côté de ma femme.

- Tu veux un café ? Me demande-elle.

- Je veux bien merci bébé repondis-je.

Quand elle se lève et marche, je vois qu'elle a du mal.
Je souris comme un débile.

- Mec tu y es pas aller de main morte la pauvre me dit Stone.

L'homme des cavernes en moi est fier de lui, l'homme fou amoureux s'inquiète.

- Je vais l'aider dis-je en me levant.

Quand je la rejoins elle a presque finis, je l'enlace par derrière et lui masse le ventre.

- T'as mal ? Demandais-je.

- Un petit inconfort, c'est pas grave et ça en valait la peine repond- elle.

Je lui dépose un baiser sur la nuque et la retourne.
Elle passe ses bras autour de mon cou et pose ses lèvres sur les miennes.

Quand on se détache je lui dis que je l'aime.

- Va t'habiller me dit-elle avec une tape sur les fesses.

Je les remue et elle éclate de rire.

Bordel ce que j'aime son rire.

Je redescend après avoir enfilé mes fringues, Dean demande a me parler.

On sort et il me dit.

- Prend une semaine tranquille commença-t-il. Profite de ta liberté, de ta femme, tu retourneras aux affaires ensuite.

- Merci prez lui dis-je.

- Tu comptes officialiser avec la petite ? Demande-t-il.

- Ouais soupirais-je, mais je dois d'abord la convaincre que rien ne changera entre nous.

- Hmmm , ma femme lui a expliquée  comment on fonctionne.  Elle sait ce qu'est une régulière.

- Bien, commande son cuir, je compte bien la convaincre autant faire qu'il soit prêt.

On discute encore un peu et les gars repartent.
Ma mère part un peu plus tard après avoir promis qu'on viendra au barbecue de demain.

Je suis allongée contre le corps nu de ma femme, elle est blottit contre moi, ses doigts suivent les contours de mes tatouages.

- Et si tu ramenais quelsues fringues a toi ici demande-t-elle.

- Ça marche répondis je.
On ira les chercher ce soir.
Tu sais, je suis deja prêt a m'installer avec toi...

- Je préfère qu'on y aille progressivement, tu dois deja te readapter a la vie a l'exterieur.

- Hmmm repondis-je, sache que quand tu seras prête moi je le suis déjà.

On finit la journée par de petit bonheur simple.
Pizza, télé et beaucoup de câlins.

Ça parait si anodin... en réalité tout a meilleur gout avec elle.

Je suis complètement fou d'elle.



L'acier qui nous sépare Où les histoires vivent. Découvrez maintenant