Chapitre 2

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Même avec ça, je n'ai aucune idée d'où je suis, ni ce que j'y fais et encore moins de ce qui se passe. Je m'assoupis soudainement.
Moins de quatre fois quatre minutes passèrent avant que je ne me réveille dans les bras de la même demoiselle. Sa main gauche sur ma tête, apparemment sur mon saignement vu comment je sens la douleur à l'endroit où elle fait pression.
Je crois que je ne suis plus aussi déglingué qu'avant, je peux essayer de comprendre la situation.

- S'il vous plaît euh... Disai-je en faisant signe pour avoir son prénom.
- Ah! Vous pouvez m'appeler Céline.
- S'il vous plaît Céline, aidez-moi à me rappeler de ce qui s'est passé je vous prie.
-Attendez, vous ne vous rappelez pas de tout ce qui s'est passé ? Me demanda-t-elle étonné.
-Pas entièrement, lui répondis-je en retirant sa main de ma tête en me redressant, bref je crois qu'on est dans une banque à en juger par les lieux et quoi d'autre Céline ?
-Sérieusement !? Vous avez reçu un violent choc à la tête alors...  Restez calme et observez autour de vous.

J'ai beau essayé de me forcer mais mes yeux voient toujours aussi flous. J'arrive à me concentrer assez pendant une quarantaine de secondes pour regarder les alentours et comprendre enfin la situation.

- Hum... Je vois. Bon je pense qu'ils sont entrain de faire le plein dans les caisses. Je vais sortir, j'ai la tête en sang et le poignet en lambeaux. Ai-je dit à Céline avant de me lever.

Celle-ci m'attrape le bras et me supplie de ne pas le faire.

- C'est bien trop dangereux. En plus vous n'avez même pas toute votre tête. Je vous en supplie 《RESTEZ》. Insiste-t-elle.

Mais Putain qu'est ce qu'elle me raconte elle ? Et pourquoi elle m'attrape le bras ?
"Merde mais lâche moi toi !" Criai-je au fond de moi.
Bon elle pense que je ne suis pas assez lucide pour. Si je lui prouve le contraire elle me laissera.

- Bon écoutez moi. Vous êtes gauchère, vous travaillez ici et enfin c'est votre premier braquage en situation réelle. Ça vous suffit pour être convaincu.

Ah ! La voilà enfin qui me lâche.
Bon allons y directement dans un hôpital j'ai déjà trop de douleur comme ça. Au moment où j'atteins la porte, une voix lourde et agressive m'interpelle.

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False Alarm : What's happening [Fr]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant