- Yo, du con. Bouge ton cul de là et en vitesse. Cria un des bandits en se dirigeant vers moi. Il avait lui aussi une arme à l'épaule, une mitrailleuse selon moi.
J'essaye de l'expliquer de façon succincte que je ne peux pas rester ici.
- Excusez moi, je crois que j'ai une commotion cérébrale et mon poignet pendouille dans tous les sens. Je dois rapidement aller...
Je n'ai même pas le temps de finir ma phrase que je reçois un coup violent de l'assaillant dans l'abdomen.
- Déjà ça ne t'a pas suffit de faire le mariol tout à l'heure il faut aussi que tu te lamentes. Ce sont les conséquences de tes actes du con. Donc assume et rep...
Bon sang, j'ai les oreilles qui recommencent à bourdonner, je n'écoute même plus ce qu'il me dit. Je me tiens la tête pendant que l'assaillant continue à me gueuler dessus. "Mon état s'aggrave du fait que je sois debout. Je ne peux plus rester ici." Pensai-je. Sans faire attention aux menaces et en me remettant petit à petit du coup porté à mon égard, je craque la poignet de la grande porte de la banque. Elle s'ouvre de l'extérieur d'à peine quatre centimètres que la lumière du jour m'éblouit les yeux. J'ai même l'impression que cette lumière devient bleu. La porte est refermée aussitôt par l'assaillant qui le pousse avec toute la pression possible.
- C'est la dernière fois que je te le dis : BOUGE TON CUL DE LÀ ET EN VITESSE. Me somme-t-il.
En repartant m'assoir auprès de Céline, j'entends le clic-clac du verrou de la porte d'entrée. "Donc ils n'avaient même pas fermé" pensai-je encore.
Quarante secondes après s'être assis, je constate mon erreur.Style YouTubeur normal : N'oublie de voter pour soutenir l'histoire ça faire énormément plaisir et de t'abonner pour recevoir les notifications à chaque nouveau chapitre qui sortira
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False Alarm : What's happening [Fr]
ActionMais qu'est-ce qu'il se passe ? J'ai la tête qui tourne la réalité n'a plus la même allure. Mes oreilles bourdonnent sauvagement, j'ai du mal à percevoir les sons environnants. Mes yeux ne captent que la lumière de façon à m'aveugler, je crois que t...