Soul of fire. { Tome 2 terminé.} PUBLIÉ.

"I am in pain and i am afraid that this time there is no one to count on."

Précédemment dans soul of fire.

Combien même ça m'a brisée de leurs dire ça. Maintenant ils sont partis. Ils ne reviendront plus. Pour leur bien.

Et je suis à présent seule.

Triste.

Et brisée.

{__}

Deux semaines plus tard.

La solitude m'envahit à chaque secondes qui passent. La tristesse me brûle de l'intérieur. Et la douleur me tue doucement.

Une douce brise glacée me frôla doucement, alors que les vagues faisaient des vas et viens sur le sable, et que les étoiles trônaient fièrement dans le ciel.

Mon souffle se fit lourd et ma gorge se serra, mais pas une seule larme coulait sur les joues.

Je ne pleurs pas. Je ne cris pas. Je ne ris pas.

Je suis juste vide.

Je suis juste brisée.

Je suis ici depuis cette après midi. Je ne sais pas spécialement pourquoi ici, mais quand je suis sortis de l'hôpital, après deux semaines de surveillance, sans nul part où aller, je me suis dis que je pourrais peut-être aller à l'endroit où j'ai passé un, des quelques meilleurs moments de ma vie.

Alors je suis venue ici, à la plage. Cette plage où nous sommes tous allait, quelques jours avant que tout ne tombe en ruine.

Ce jour là, tout le monde riaient, ou souriaient. Nous étions tous heureux, et insouciants. Tellement insouciants...

Et maintenant.., et bien.., maintenant je l'es aies tous perdus.

Tout le monde.

J'ai réellement tout perdus. Même mon travaille. Ce qui ne vas pas m'aider a, " refaire ma vie"...

J'ai tout perdus.

- Toi aussi, ça t'apaise de venir ici ? Me demanda soudainement une
voix derrière derrière.

Tyron.

Un horrible frisson me prit alors et ma gorge se serra, tout comme mon ventre ainsi que mon cœur.

Je ne voulais plus les revoir...

- Non, murmurais-je sans même me retourner. Non, ça me rend triste. Finissais-je par lui avouer la voix tremblante.

Après quelques secondes silences, des bras s'entoura doucement autour de ma taille, et sa tête se posa doucement sur mon épaule. Il était donc à genoux derrière moi.

Je soupira alors, en essayant de retenir mes larmes.

- Heïvy.., n'abandonne pas les personnes qui t'entoures... Ne nous abandonne pas.. Ne t'abandonne pas... Me chuchota-t'il en m'enlaçant encore plus tendrement, ce qui fut la goute de trop.