Chapitre 13

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Elle était magnifique. Je n'avais qu'une envie : la suivre et la faire mienne. Mais il était trop tôt encore. Je sortis mon téléphone et m'excusai auprès de mes voisins de table. J'enclenchai le logiciel de surveillance et affichai la caméra du bureau. Je vis les deux jeunes femmes se déshabiller. Elles étaient superbes. La lumière de la lampe sublimant leurs délicieuses courbes. J'en avais l'eau à la bouche et ma queue gonfla.

Dire que je pourrais m'éclipser un instant, juste un instant pour admirer ce spectacle. Participer même peut-être. Non. Trop tôt. Bella mettait mes nerfs à rude épreuve. Chaque jour à ses côtés était un supplice. Je la voulais nue sur moi, mon sexe enfoncer dans le sien et ma langue dans sa bouche. Une torture que je m'infligeais seul. J'avais choisi de reprendre la direction de cette entreprise juste pour être près d'elle, je voulais apprendre à la connaître. Rien n'était laissé au hasard. Même Candy avait joué un rôle dans cette comédie. J'avais préparé le terrain en douceur. Je la voulais pour moi seul, mais avant elle devait se libérer et expérimenter. Je voulais être le maître de ses désirs et recueillir chacun de ses soupirs de plaisir.

J'aimais la voir et l'entendre jouir. Sur mon écran, Stella l'avait penchée sur le bureau. Je pouvais admirer le plug entre ses fesses arrondies. Je m'imaginais à la place de Stella, léchant les replis intimes de ma dulcinée. J'avais hâte de la goûter. Sentir son miel sur ma langue. Elle jouit, cambrant ses reins et pinçant ses tétons. Un régal pour les yeux. Elles s'installèrent ensuite pour un 69 sur la petite table de salon que j'avais fait allonger afin qu'elle puisse accueillir le corps nu de mes amantes. Elle avait peu servi jusqu'ici. Là, le spectacle était parfait. Je fus déçu de ne plus vraiment profiter de la vue du corps de Bella. Se trouvant en dessous, je ne voyais que les jambes tressautant de plaisir et ses doigts malaxer le postérieur de Stella.

La porte s'ouvrit et Stan entra. Il admira l'œuvre devant lui, sembla apprécier. Il se dévêtit et se masturba en regardant le cul de sa partenaire qui se faisait lécher par Bella. Il posa son gland dans le sillon des fesses de Stella et joua en rythme avec les deux filles. Je vis la petite main de Bella quitter le cul de la jeune femme pour caresser les bourses de Stan. C'est à ce moment que je ressentis une pointe au cœur. Une forme de colère monta en moi. Je me maîtrisai tant que je pus. Le frère de Bella s'enquit alors de mon état :

- Tout va bien John ? Vous semblez contrarié. Une mauvaise nouvelle ?

Je soupirai et lâchai :

- Pas vraiment, je suis dans une situation inédite et je ne saurais interpréter ce que je ressens.

- Racontez-moi, je sais être de bon conseil parfois.

- Même pour les histoires de cœur ?

- Je vends des chansons d'amour ! déclara-t-il feignant d'être offusqué.

- Vu comme cela alors ! Je suis tombé sous le charme d'une jeune femme et je n'ose me déclarer. Elle ne sait pas vraiment qu'elle m'intéresse et sort avec d'autres personnes. Je sais que ce n'est rien de sérieux mais je ressens comme une pique au cœur chaque fois que je la vois avec un autre.

- Je ne vois qu'une explication : vous êtes jaloux !

Je ris doucement. Moi jaloux ?

- Je n'ai jamais ressenti de jalousie.

- Il faut croire que cette personne est différente. Elle signifie quelque chose de particulier pour vous. J'ai moi-même découvert ce sentiment avec mon épouse. Chaque gala était une torture. Je ne voulais que la poser sur mon épaule et l'emmener loin des regards intéressés et lubriques des autres hommes.

Nous rîmes tous les deux à l'évocation de cette image digne de cro-magnon. Je songeais que finalement mes sentiments étaient semblables. Je la voulais pour moi seul. Je jetais à nouveau un regard sur l'écran et vit Bella empêcher Stan de toucher au plug. Je souris à cette vision. Tout n'était pas mauvais. Je pouvais construire ma relation avec elle, je savais qu'elle me désirait autant que je la désirais. J'avais bien remarqué son regard insistant sur mon visage et mon buste. Elle avait rougi aussi quelques fois. Je soufflais un grand coup et levais mon verre pour trinquer avec le frère de la femme que j'aimais.

Duo soloOù les histoires vivent. Découvrez maintenant