𝘛𝘙𝘌𝘐𝘡𝘐𝘌𝘔𝘌 𝘊𝘏𝘈𝘗𝘐𝘛𝘙𝘌 ─ il lui suffirait de l'étrangler

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✒ 𝙻𝚎𝚜 𝚍𝚎́𝚖𝚘𝚗𝚜 𝚒𝚗𝚝𝚎́𝚛𝚒𝚎𝚞𝚛𝚜 𝚗𝚎 𝚜𝚘𝚗𝚝 𝚚𝚞'𝚞𝚗 𝚛𝚎𝚏𝚕𝚎𝚝 𝚍𝚎 𝚕𝚊 𝚜𝚘𝚌𝚒𝚎́𝚝𝚎́ 𝚌𝚘𝚛𝚛𝚘𝚖𝚙𝚞𝚎.

C'était le bon moment pour prendre une pause. Les évènements avaient longuement hanté Spark et Rose, et voyager sans craindre quoi que ce soit était devenu irréalisable. Après une longue semaine de voyage, l'île de Drum s'était dressée sur leur chemin comme un cadeau des Dieux. En débarquant là-bas, les deux compagnons furent surpris d'apprendre que les pirates au chapeau de paille venaient de quitter cet endroit après l'avoir sauvé. Un nouveau roi avait été couronné, et l'accueil courtois qu'ils avaient reçu par la majorité des citoyens les avait ravis plus que tout.

A présent, sur ce Royaume, il ne tombait plus que des pétales de cerisiers. La neige avait complètement disparu et avait laissé place à une douce brise entrainante. L'un des habitants leur avait expliqué que cela était arrivé grâce à un défunt et honorable médecin qui habitait l'île il y a quelques années. Les Mugiwara n'avaient fait que rendre cela possible en délivrant le pays entier des griffes d'un homme nommé Wapol.


─ Du lait, s'il vous plaît.

C'était la seule et unique chose que Spark avait demandé en prenant place au bar des Glaçons, deux heures après leur arrivée. Au pas de course, le garçon s'occupa de la commande du pirate. Rose, qui était rétablie depuis quelques jours, s'autorisa à boire un verre de saké sous le regard désapprobateur de son ami, qui s'inquiétait encore à cause de son état. Sa faiblesse se voyait encore, lorsque l'on fixait son visage un peu trop pâle et ses cernes écrasants.

─ Tu es malade ! Tu n'es pas censée boire de l'alcool dans ton état, Rose, la réprimanda-t-il devant tout le monde.

─ Je ne suis pas malade, Spark ! C'était un petit coup de fatigue.

Rose gonfla les joues avant de soupirer. En l'observant avec attention, Spark remarqua que pour une fois, elle avait attaché ses cheveux en une petite queue de cheval basse. Et cela ne lui allait pas vraiment. Son visage était bien trop gros pour être harmonieux, mis en valeur de cette façon. Lorsqu'un léger courant d'air passa la porte du bar, le jeune homme se rendit compte qu'elle mentait. Les gouttes de sueur qui ornaient son visage n'étaient pas esthétiques ; son maquillage n'avait pas été fait, alors qu'elle prenait normalement la peine de le faire tous les matins, à la même heure, dans la salle de bains.

En fait, la Zoan ne se sentait sûrement pas capable de lui dire la vérité. Elle ne pouvait pas la lui dire. Il la prendrait pour une folle. Il n'y avait aucune chance pour qu'il comprenne le mal qui la hantait constamment.

𝐀̀ 𝐒𝐎𝐍 𝐂𝐎𝐑𝐏𝐒 𝐃𝐄́𝐅𝐄𝐍𝐃𝐀𝐍𝐓┃katakuri x oc ²⁰¹⁷Où les histoires vivent. Découvrez maintenant