Chapitre 7 : jour 6

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Nous sommes aujourd'hui le sixième jour, le stresse commencé à sérieusement à augmenter de minutes en minutes. L'attente est sérieusement insupportable. Je me ronge les ongles toutes les minutes jusqu'à en saigner.

Fleurs arrive dans le salon avec du thé à la menthe sûrement pour passer le temps, chose que je refuse pas, bien entendu, malgré l'attente insupportable. Elle a beaucoup dormi aujourd'hui donc elle a l'air en "forme" aujourd'hui. Chose qui est rare comme elle a dit.

- tiens, le thé, j'espère que tu aimes la menthe.

- merci, fleurs, t'inquiète pas pour ça. J'aime tout type de thé.

La tasse est chaude, c'est agréable. Je repense encore à ce matin. Ce qui  s'est passé ce matin. Elle s'assied sûr le canapé à côté de moi elle remarque ma tristesse, elle avala une petite gorgée de son thé à la menthe avant de prononcée :

- Julien, c'était pas Véronique.

- j'ai juste peur pour ce soir. Déjà ce matin elle était en furie totale car exceptionnellement je suis partie du manoir tôt le matin, mais malheureusement pour moi, elle était déjà dans la cuisine pourtant il était que sept heures du matin.

- je sais... je sais Julien.

- elle était complètement folle ! complètement.

Je m'en souviens encore de la façon comment elle se déchaîner sûr moi, les mots employés de celle-ci étaient tellement plus durs à entendre. J'ai jamais entendu ce genre de chose dans ma vie même mon propre ennemi me parler pas comme cela.

"J'espère que ta pute de mère va te laisser crever sur la route haha !"

"A mes yeux tu es mon objet !"

"Tu es rien, hormis de la merde !"

Je refuse, je ne suis pas son objet, comment elle... cette chose ose me parler de la sorte ? Ce n'est pas de ma faute si ma descendante a fait un pacte avec quelque chose !...

Je respire lentement, je revois encore Gastro encore terroriser de voir ma... non, cette chose, ce démon hurler dans tous les sens disant tout et n'importe pas. Il se cachait sous la table de la salle à manger. Je voulais bien le prendre avec moi pour qu'il ne reste pas ici. Mais il était trop proche de la personne que je dois à tout prix éviter. Alors je suis parti le plus rapidement possible. En plus, j'avais commencé à faire les valises et j'ai même pas eu l'intelligence de prendre ma valise déjà bien abîmé.

- je sais que c'est compliqué... tu m'as raconté ton après-midi, ta discussion avec le prêtre. Je ne sais vraiment pas quoi dire à par Wow.

- pour te dire la vérité Fleurs, je m'en suis toujours pas remis de tout ça. Jetée une malédiction qui se répète au fil des générations ? Mais pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi moi ? Pourquoi nous Fleurs ?

- comme le prêtre l'avait dit ses mystères sur mystère.

- effectivement.

J'avale une autre gorgée de thé, je sens ma trachée se réchauffer c'est agréable, ça fait du bien. Je regarde à nouveau l'heure du Salon.

- ils sont sérieusement en retard. C'est déplaisant.

- ne t'inquiète pas julien. Tu sais, il pourrait avoir beaucoup de personnes dans les routes.

7 jours...   [ FINI ] VERSION 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant