Arabesques de plaisir se dessinent à moitié
Ma peau biscornue en porte les baisers
Et en nuisance, je rêve d'la couvrir.
Rapidement elle se dilate, se fige
Tout s'accélère, puis tes saveurs se taisent.
Un royaume de velours et de sucre
Magnificence de ton prince de lune
Exigüe et raide, ta beauté amère
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les fleurs du mal ont fané.
Poezjaau détour du dédale de nos échappatoires sous les strobes des peines, le silence des cris il y a ta gueule, pure, qui vomit ses déboires qui neige et qui vente et qui meurt une mort sublime