𝐓𝐎𝐌𝐄 𝟏
« Adieu Los Angeles et bonjour Beacon Hills. »
Voilà la première chose que s'est dit Jane en arrivant au lycée de Beacon Hills. Seulement, à ce moment là, elle n'imaginait pas à quel point TOUT allait changer.
« Qu'est-ce que tu sais...
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« 𝙻𝚊 𝚕𝚒𝚜𝚝𝚎 𝚗𝚘𝚒𝚛𝚎 »
STILES
La nuit dernière, Lydia avait déchiffré le code et avait immédiatement montré la feuille à Stiles et Scott.
– On est tous dessus, a dit lydia en leur tendant.
C: / / KEYWORD : ALLISON
SEAN WALCOTT 250 DAVID WALCOTT 250 MICHEAL WALCOTT 250 CHRISTINA WALCOTT 250 LYDIA MARTIN 20 SCOTT MCCALL 25 DEMARCO MONTANA 250 DEREK HALE 15 CARRIE HUDSON 500 KAYLEEN BETTCHER 250 KIRA YUKIMURA 6 ELIAS TOWN 250 JANE HATHAWAY 27
Stiles entendit des voix étouffées mais n'y prêta pas attention. La seule chose qu'il voyait, c'était le dernier nom de la liste.
JANE
La sonnerie du lycée me fit sursauter.
– T'es un peu à cran ce matin non ?
Je sursautai de nouveau. Le visage de cette petite fille hantait mes pensées et me laissait une affreuse sensation de déjà vu.
– En fait t'es carrément à cran.
Je fermai mon casier et me retrouvai face à la moue enjouée de Stiles.
– Salut Stiles.
Je ne saurai dire pourquoi, mais le voir me rendait un peu moins... sur les nerfs. Peut-être était-ce son visage amical et peut-être aussi parce que c'était une des seules personnes qui m'avait adressé la parole depuis mon arrivée sans me regarder comme si j'avais deux têtes.
– T'as éco ce matin aussi non ?
Sa façon de me parler, comme si nous étions amis depuis toujours me donna une impression de normalité.
– Où est Scott ? – Avec Liam. Tu vas voir notre prof, c'est le coach, il est... – Légèrement excentrique, avec un air ahuri ?
Stiles sembla étonné.
– On dirait que tu vois exactement de qui je parle. – STILINSKI !
Le coach surgit derrière lui, le faisant sursauter à son tour. Il posa la main sur son cœur comme s'il avait failli faire une crise cardiaque et se tourna vers le coach.
– STILINSKI ! Ça a sonné depuis cinq minutes ! – Euh non coach ça fait à peine deux minutes, le corrigea-t-il. – Stilinski...
Le coach parla d'une voix si calme que ça n'augurait rien de bon. Ça donnait un peu l'impression du « calme avant la tempête ».
