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Cauchemar

Je suis seule,
Assis à même le sol,
Dans une caverne,
Sombre, humide, et froide.

Je suis frigorifiée,
Le sol sur lequel je suis assise est mou.
Ce n'ai pas de la terre,
Ni de la pierre,
Cela ressemble plutôt à de la peau humaine.

De la peau humaine glacé.

Je me recroqueville sur moi même,
La tête enfouie dans mes genoux rabbatus contre ma poitrine.

Des larmes amers coulent sur mes joues.

Les murs commencent à se renfermer sur moi même.

Je panique.
Je suffoque.

Je plaque mes mains contres les parois,
Dans un vain effort de ralentissement du mouvement.

J'appelle un par un mes amis.

Dabors doucement, puis de plus en plus fort.
Il ne viennent pas.
Finalement, peut être ne m'aime t-il pas ?

Qu'elle erreur ai-je fait pour qu'il m'abandonne ainsi ?

Mes petites mains frêles et fragiles tambourinnent contre les murs.

J'ai peur.

Les espaces confinés, je déteste ça.

Comme la fois où j'avais été enfermé dans les toilettes du collège.
J'aivais caché ma nervosité par des rires.

En réalité je ma sentait vraiment mal.

Je ne peut plus bouger.
Je suis terrorisée,
Penser à respirer, surtout.

Inspire,
Expire,
Inspire,
Expire,
...

Mais ma gorge est encombrés.
Je respire difficilement.

Je chuchote en boucle le nom de chaque personne qui est sensé être la pour moi.
Personne ne viens.

La cavité à atteint la taille de mon corps recroquevillé.

Je contemple mon corps perdu dans le noir.

Mon esprit s'est détaché de mon moi physique.

Ma bouche s'ouvre et se ferme lentement en répétant des noms machinalement.

Qui sont-ils ?

Quoi ?

Pourquoi ?

J'ai tout oublié.
Je n'ai plus aucuns souvenirs.

Mon âmes est vide.

Je suis seule present.
Je ne peut pas me relever et courir.

S'est pour cela que je déteste être enfermé.
Je ne peut pas courir signifie oublié tout mes problèmes par l'effort.

Je suis condamné à ressassé mes erreurs une par une.

Ils ne sont pas venus.

Mais bon, après tout, ce n'est qu'un cauchemar.

Un cauchemar qui représente mes deux plus grandes peurs.

L'enfermement.

Et la solitude.