Un bruit me fait sursauter dans mon sommeil, ça vient de ma porte d'entrée. Je me lève lentement. Qui vient me réveiller brutalement dés le matin. Le bruit continue. Je regarde le réveil, il est 6h45 ?!! Il est tôt.
- J'arrive !!!
Je crie pour faire arrête ce boucan mais ça continue, je crois que je vais péter un câble ! Je marche jusqu'à ma porte d'entrée, agacée. J'ouvre lentement et je vois Naruto.
- Qu'est-ce qu...
Il me coupe la parole.
- Sakura-san !! Kakashi-sensei veut te voir !!!
J'écarquille les yeux.
- D'accord, je me prépare !
Je tourne les talons, je cours jusqu'à la salle de bain. Je me prépare en 5 min, je prend même pas le temps de manger puis je sors et Naruto m'emmène au bureau de l'Hokage. On arrive devant la porte du bureau, Naruto toque et on rentre.
- Kakashi-sensei, je te ramène Sakura-san.
- Merci, Naruto.
Il y avait Sasuke-kun ! Je rougis et je m'avance vers lui.
- Salut, Sasuke-kun....
Il rougis à son tour.
- Salut...
Kakashi-sensei se lève et s'avance vers nous.
- Sakura, Sasuke, vous saviez pourquoi je vous ai convoqués ce matin ?
- Non...
- Je vous donne une mission importante, vous devez retrouver quelqu'un de disparut, il parait qu'elle a été enlever par des bandit.
Naruto s'avance vers Kakashi-sensei.
- Je viens aussi !
Kakashi-sensei lui lance un regard noir.
- Non !
- Pourquoi ?!!
- Parce que demain, tu pars avec Hinata et Lee pour une mission importante aussi !
Il baisse le regard.
- Mais...
- Il n y a pas de "mais", Naruto !
Je le regarde boudé, puis Kakashi-sensei continue son discourt.
- Donc, vous y aller que tout les deux ! Je compte sur vous ! Cette personne s'appelle Konohamaru Sarutobi ! Retrouver-le !
- Oui !
Je regarde Naruto, serrer les dents. Konohamaru est comme son élève, c'est normal qu'il veut aller avec nous. On sort, je regarde Sasuke-kun à coter de moi. Je rentre chez moi, je prépare quelques affaires et je sors. Je vais à l'entrée de Konoha, il y avait déjà Sasuke-kun, je cours vers lui.
- Tu es prête ?
Je relève la tête et je souris.
- Oui, on peut y aller.
Et on partit. On était tout les deux... Toute les 1 min, je lui lance des petits regards. Soudain, il s'arrête.
- On fait une pause, ça fait 4 h qu'on avance.
- Ou....oui, tu as raison...
Je n'arrête pas de penser à hier soir, il faut que j'arrête parce que un moment je vais exploser. Je regarde Sasuke-kun, il regardait la carte pour qu'on trouve le repère des bandits. Soudain, il se mit à me regarder.
- Sakura...
Je le regarde, rouge comme une tomate.
- Ou...oui ?
Il me prend la main et il dépose un baiser. Je deviens rouge, prête à exploser.
- Sasu...Sasuke-kun...
Il me regarde et rougie.
- Si il t'arrive quelque chose, je serai la pour te protéger !
Il lâche ma main et il prend la carte. On repris notre route dans le silence le plus complet. Soudain, il m'attrape le bras et m'attire vers lui, je suis collé contre son torse. On s'arrête, je le regarde, des kunaïs se dirigent vers nous. Sasuke-kun me porte et saute pour les éviter. Il attérit sur la branche d'un arbre. Il me lâche et me met à coter de lui.
- C'est un piège... Soit prudente...
Je regarde et des bandits sortent de leurs cochettes et commencent à discuter entre eux.
- Ça veut dire qu'on est tout prêt de leurs repères...
Je le regarde mais je me concentre sur les bandits. Sasuke-kun active son Eien No Mangekyô Sharingan, il est splendide et il montre son Rinnegan. Il m'attrape la main et la met sur son visage.
- Reste ici, j'en ai pour une minute...
Il descend et il sort son épée et commence à attaquer. En 2 min, il l'est bas tous. Il range son épée. Il me fait signe de descendre, je descend. J'atterris prés de lui, je lève la tête, j'étais à quelques centimètres de son visage. Il mit sa main dans mes cheveux et posa ses lèvres contre les miennes. Il décolla ses lèvres et se tourna.
- Désolé, je pouvais pas me retenir...
Je touche mes lèvres, j'en veux encore... Je met une main sur son épaule, il se retourne puis d'un coup, je lui donne un baiser. Il fut surpris, mais il mit une main sous ma tête et son bras autour de ma taille. Soudain, il me plaque contre un arbre, il détache mon col et m'embrasse dans le cou. Sa cape noir frôlait mes jambes, je sentais ses gants noirs sur ma taille. Il s'écarte, il était rouge.
- Désolé, je me suis emporté...
Je referme mon col, je le pris dans mes bras.
- C'est rien...
Il cachait son visage, dés qu'on s'est calmés. On repartit.
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