Ne M'abandonne Pas (Light x L)

Chapitre 1

Hey! Voici le premier chapitre de ma toute première fanfiction! Je l'ai retravaillée un bon nombre de fois et j'espère qu'elle vous plaira!

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« Je te surveillerai 24 heures sur 24 désormais.

-Tu n'es pas sérieux Ryûzaki !

-Si, parfaitement Misa.

-Mais comment je pourrai voir Light pour nos rendez-vous amoureux avec ça ?!

-Eh bien ces rendez-vous se passeront à trois. »

Je me retrouve, bouche bée, à regarder la chaîne sur mon poignet. Ryûzaki est vraiment très fort en termes de surprises. Avant que je n'aie pu riposter, il m'a passé une menotte autour du poignet gauche. Cette chaîne est alors reliée au poignet droit de Ryûzaki.

« Je suis sûre que tu es gay pour faire une telle chose ! hurle Misa.

-Je le fait parce que je suis obligé, réplique L.

Je décide aussitôt de prendre la défense de l'étrange personne à laquelle je suis attaché :

-Misa il faut que tu comprennes. L a encore des doutes me concernant. Il faut donc qu'il puisse me surveiller à chaque moment de la journée, ne sachant pas ce qu'il peut arriver.

-C'est exact, renchérit Ryûzaki. De plus, des caméras te surveilleront aussi constamment Misa.

-Tu n'es vraiment qu'un pervers, se plaint Misa.

Elle s'approche de moi, m'embrasse sur la joue, et part en direction de sa chambre tout en lançant un regard meurtrier à Ryûzaki.

-Je crois que ta copine est énervée Light, me dit Ryûzaki. »

Je ris à cette remarque.

Le reste de la soirée se passe sans encombre. Pendant le dîner, je vois que Misa tire la langue à Ryûzaki, qui ne répond pas à cette provocation. Mon ami ne mange pendant le dîner qu'une multitude gâteaux. Ils sont à la framboise, à la fraise, et même à la mangue...

Ils sont tous recouverts de chantilly, jusqu'à ne plus en voir le gâteau. La facilité avec laquelle il avale tout cela me fascine. Comment un corps aussi menu peut-il digérer autant de sucreries ?

Quand il termine enfin son repas, Watari vient débarrasser son assiette. Ryûzaki m'entraîne alors hors de la salle à manger en me tirant avec la chaîne. J'ai du mal à ne pas trébucher. Nous grimpons de deux étages avant d'arriver devant une chambre qui se trouve au fond d'un couloir.

Je me mets à rire :

« Ryûzaki. Ne me dis pas qu'on va dormir dans la même chambre.

-Je suis désolé de te dire cela Light mais si, nous allons dormir dans la même chambre. »

Je le regarde, sans comprendre ce qu'il est en train de se passer.

Mon ami ouvre la porte de la chambre, et je contemple la splendeur de cette pièce. Le sol est recouvert d'une moquette grise-car, bien sûr, Ryûzaki n'aime pas le parquet-, les murs sont d'un blanc étincelant qui brille grâce à la lumière d'un immense lustre au plafond. Les meubles rendent un côté chaleureux à la pièce. Cette « chambre » est en fait un grand appartement. Je n'ai jamais vu une habitation aussi luxueuse. Je me dirige vers l'espace où on va dormir, quand, soudain, je m'arrête net :

« Ryûzaki...

-Oui Light ?

Je tourne la tête vers l'homme qui se tient à côté de moi :

-Tu te fous de moi ?

-Yagami, pourrais-tu me dire ce qui te chagrine ?

-Ne me dis pas qu'on va dormir dans le même lit ! hurlé-je. On ne peut même pas se détacher la nuit et dormir dans deux lits différents ?!

-Euh...non.

-Je peux savoir pourquoi ?

-Eh bien je t'ai dit qu'il faut que je te surveille 24 heures sur 24 donc c'est ce que je vais faire. Et puis, dit-il en posant son pouce sur ses lèvres, ça n'aurait pas été très confortable de dormir dans deux lits différents avec ces menottes. »

Je le regarde, énervé, avec l'envie de lui mettre un coup de poing dans la figure, mais je me retiens.

La nuit promet d'être longue.