Mai 1999.
Tous les élèves étant présents en 1998, année désastreuse, repassent leur année.
Après cette affreuse bataille, alors que tout devrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, Harry se sent plus mal et plus seul que jamais.
Et les...
lemon!!!! ⚠️ Drago me rejoint dans l'herbe. Il s'allonge à mes côtés, et je souris. Je me retourne ; je suis sur le dos. Drago et moi nous regardons. Nos doigts s'effleurent. Je ferme les yeux. Le soleil me chatouille. Drago prend ma main droite et la serre. J'enfonce l'autre dans l'herbe. Je respire en entier, pour une fois. Il me lâche la main. Je le sens se redresser et se positionner au-dessus de moi. J'ouvre les yeux. Nous nous sourions. Il a posé ses mains de chaque côté de ma tête. Je caresse sa joue, puis son cou, son torse. Il sourit en se mordant légèrement la lèvre. Je me redresse un chouïa et je l'embrasse. Il tombe sur le côté et se rallonge, sans interrompre notre baiser. Je grimpe sur lui en l'embrassant de plus belle. Mon cœur s'agite. Nous nous embrassons. Puis je descend dans son cou. Je passe et repasse mes mains froides sur son torse couvert de sa chemise blanche, qui sent l'hôpital. J'ai envie de lui enlever.
« J'ai envie de te l'enlever. - Quoi? - Rien. Je disais...»
Il pose son pouce sur mes lèvres et caresse ma joue. Je souris. Je me tais, il s'assoit, je m'assois et je le regarde tirer la fermeture éclair de mon sweat gris. Il me l'enlève. Je lui déboutonne sa chemise. En un rien de temps, nous sommes tous deux torse nu. Je me serre contre lui, et je l'embrasse. Je caresse son dos. Nos nez se touchent. Drago se met alors à embrasser mon cou. Comme il me pousse doucement, je bascule lentement en arrière et je m'allonge dans l'herbe, tandis qu'il m'embrasse un peu partout. Mon entre-jambe me démange. Putain, ce que j'ai envie de lui. Son visage, son corps, son torse, sa bouche, son cou, ses bras, tout m'attire chez lui. Je suis excité, tellement excité. Drago le sent bien, car il a un petit sourire en coin tandis qu'il me mordille le cou. Ma respiration se fait plus saccadée. Drago défait ma ceinture, je me laisse faire, comme hypnotisé par ses yeux clairs. Ses doigts caressent ma peau, et mon dos commence déjà à se cambrer dans l'herbe froide. Sa langue effleure mon torse, ses mains baissent mon jean lentement. Il me fait languir, je soupire, je gémis son nom. Mes mains agrippent l'herbe, et je me mords la lèvre inférieure. Mon pantalon et mon caleçon enfin baissés, Drago commence enfin à toucher mon sexe, d'abord avec ses doigts fins, puis avec sa langue. Sa bouche, lentement, englobe mon membre. Il fait des vas et viens. C'est si bon, c'est si doux, c'est si sensuel que j'ai l'impression de flotter dans l'air ; mon corps tout entier frémis sous ses coups de langue. Je gémis encore son nom, suivis de quelques "oh, putain" un peu déplacés mais que je ne peux retenir. Ensuite, Drago se redresse, s'essuie un peu la bouche en souriant et vient m'embrasser doucement. Il s'apprête à parler, mais je le coupe ; je devine directement où il veut en venir.
« Oui. Je suis prêt. (Il me regarde intensément.) J'en ai envie. »
Pas besoin de lui dire deux fois ; à ces mots, Drago retire prestement son pantalon et son caleçon. Il me regarde, sourit. Je baisse un peu plus mon pantalon et écarte les cuisses. Je me détends le mieux que je peux. Là, il entre en moi. Ma bouche s'entrouvre d'elle-même, mes doigts se crispent. J'ai un peu mal, mais en même temps, ça me fait du bien. Il fait de petits vas et viens, doucement. Je gémis selon son rythme. Je me sens de plus en plus bien. Je sens mon plaisir grandir en même temps... Drago exerce alors une petite pression de ses mains sur mes fesses, les écarte, en accélérant toujours plus ses coups de rein. Le Septième Ciel vient à moi. Mes yeux s'embuent, je me cambre, mon dos est courbé, et je suis dans un état second, je tremble tout en souriant. Entre mes larmes de plaisir, je vois Drago se fendre d'un grand sourire, un sourire en coin. C'est là que, à cet instant, lorsque je croise son regard argenté, à cet instant précis, tout d'un coup, une explosion retentit et fait rage dans ma cage thoracique, là, tout entre mes côtes. Une avalanche de papillons se fait retourner mon estomac de tous les côtés. Je n'ai plus de souffle, je ne peux plus rien dire ; je suis seulement là, ici, sur l'herbe fraîche, comme ivre, ivre de Drago Malefoy. Il se redresse, et je le regarde, muet, tout retourné. Il m'embrasse.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
