Là où le cœur entre en conflit avec la raison [Castiel amour sucré]

Chapitre 6

J'avais honte. J'étais mortifier. Comment avais je pu? Je m'étais pourtant jurée que ça n'arriverais plus. Je l'avais tuer. Il ne m'avait pas laisser le choix. 

Lorsque, en suivant sa trace, j'étais arrivé dans la chambre de ce Dake, Il ne dormait toujours pas. Il étais entré dans la pièce en même temps que moi, une simple serviette enrouler autour de la taille et les cheveux mouillé signe qu'il venait de prendre une douche. Il a d'abord cru que je l'avais suivis et m'étais introduit là pour finir ce qu'il avait commencé plus tot dans la journée. 

Malheureusement j'était déjà passer en état de chasse. Mes sens était dés lors décupler et lorsqu'il me toucha je ne pu me retenir de lui sauter a la gorge plantant mes cros dans la chaire de son cou directement dans la carotide. Il était trop tard pour faire machine arrière. 

La colère de l'après midi m'étais revenu au centuple et je ne pu m'arrêter avent qu'il n'aie plus une goute de sang dans le corps. La rage combinée a la peur qu'il ne me dénonce m'avait poussée a le tuer. 

Quand j'ai réaliser ce que je venais de faire j'ai fuis. Je me sentais coupable. Ce garçon était certe un abruti mais il avait forcément une famille! Et je venais de la détruire comme je l'avais fait avec la mienne. 

A l'époque ou je tuais encore mes victimes, je ne choisissais que des individu n'aillant plus personne. Je m'étais toujours promis de ne jamais tuer quiconque aillant quelqu'un qui l'attendais. Et je venais de me trahir moi même. 

Je ne valais pas mieux que l'homme qui a fait de moi ce que je suis avant de disparaître dans la nuit. 

Il fallait que je me calme, je devais me calmer. J'aurais voulu fuir. M'en aller au plus loin possible. Mais je ne pouvais pas abandonné les autres. Je me sentais si bien avec eux. Ils m'avaient appris a sourire de nouveau. Comment pouvais je décemment les laisser derrière moi? Ca les affecterais sans nul doute. Depuis 3 siècles je ne souhaitait qu'une chose. Mourir. Mais avec eux j'avais réappris a vivre. 

Comment, après autant de temps, ont ils réussi a raviver cette flamme en moins morte depuis des siècle? Durant 50 ans je m'étais mise dans la tête de tenter de vivre avec les mortelles en m'inscrivant dans des lycées ou je les côtoyais chaque jour sans jamais vraiment les approcher. Mais cette fois ci tout était différent. 

Je fini par rentré là où se trouvais mes amis rentrant directement par la fenêtre de la chambre que je partageais avec Rosa ne voulant pas risquer de réveiller tout le monde. 

Pour la deuxième fois de la nuit j'arrivais au mauvais moment. Mon amie ne dormais absolument pas et me regarda entré l'air surprise. 

Rosa: Non mais t'as vu l'heure? J'ai bien faillis aller réveiller les garçons. J'ai cru que tu t'étais perdue. Et... C'est quoi ce sang a ta bouche? Tu es blessée?! 

Oh non! J'ai oublier d'essuyé mes lèvres! Je le fit rapidement et lui offris un sourire que je voulu rassurant. 

Moi: Ce n'est rien ne t'en fait pas. Je ne faisait pas attention et j'ai heurté un poteau sur le chemin. Je me suis mordu la lèvre. 

Elle soupira en se levant et ralluma la lampe. 

Rosa: Tu sais Leyla. Je peu reconnaitre un faux sourire quand j'en voix un et la s'en est très clairement un. Exactement quand on s'est rencontrée. Tu m'inquiète. Tu es mon amie et je vois bien que quelque chose te ronge. Ca te ferais sans doute du bien d'en parler a quelqu'un. 

Moi: Je... Je ne peux pas Rosa. 

Rosa: Pourquoi pas? Nous sommes amies! Tu peux me faire confiance! Tu as beau être proche de nous tu reste distante! Qu'est ce qui ne va pas Leyla? Je peut t'aider! Non. Je veux t'aider! Parle moi! Si tu veux je n'en parlerais pas au autres mais dit moi ce qui te tracasse autant! Je t'en prie. Je n'aime pas te savoir dans le mal comme ça. 

Je la regardais sentant mon coeur se serrer a la vue de la détresse dans ses yeux. En gardant tout pour moi je leur faisait du mal sans m'en rendre conte. Je ne le voulais pas. Absolument pas. 

Moi: Même si je t'en parlerais tu ne me croirais pas. Ou alors tu me prendrais pour une folle. 

Rosa: Tu ne peux pas en être sure avant de m'avoir parler. Je ne suis pas une idiote Leyla. Je peut comprendre si tu m'explique. 

Un long soupir m'échappa. Elle avait raison. J'avais besoin de quelqu'un a qui je pourrais ouvrir mon corps. Quelqu'un avec qui je pourrais baisser ma garde, enlever le masque que je me suis forgée. Et je pense qu'en cette instant la personne correspondant le plus a ce besoin était Rosa et personne d'autre. 

Moi: Tu me promet de n'en parler a personne? 

Rosa: Tu peux me faire confiance. Jamais je ne dirait quelque chose qui te mettrais dans l'embarra a quelqu'un.  

Moi: Je... Comment suis je supposée parler d'une chose dont je n'ai jamais parler? 

Rosa: En laissant ton coeur dictée tes paroles. 

Elle me pris les mains m'entrainant avec elle sur le lit pour nous y asseoir et je pris une grande inspiration. 

Moi: La légende est vrai. 

Rosa: Quelle légende? 

Moi: Celle dont monsieur Fareze parlait a mon arrivée... 

Rosa: Celle dont... Tu parles de la légende qui parlait de ton ancêtre? 

J'hochais la tête. 

Moi: Ce n'est pas mon ancêtre. La Leyla Mc Duffy de la légende... C'est moi. Je suis cette femme. Je suis la sanglante. Je suis ce monstre assoiffée de sang dont il nous a parler durant plusieurs cours. Tout ce qu'il a dit n'est que pure vérité. Sauf pour les bébés. Ils n'ont pas assez de sang pour étancher ma soif. Je ne m'en suis jamais pris a eu. 

Rosa: Oh Leyla! Mais qui a bien pu te mettre cette idée folle dans la tête? C'est Ambre pas vrai? 

Je seccouais la tête la baissant en même temps. 

Moi: Non Rosa. Personne ne m'a mis d'idée en tête. J'ai réellement 317 ans. Je suis réellement née en l'an 1701. 

Rosa: Ce n'est pas pour te vexer mais tu avais raison. J'ai du mal a te croire. 

Elle lâcha une de mes mains pour replacer une mèche de mes cheveux derrière mon oreille. 

Rosa: Si tu étais la créature que tu viens de décrire je ne pense pas que tu trainerais avec nous comme tu le fais. 

Je lâchais a mon tour sa main et me levais traversant la pièce en une fraction de seconde la faisant ainsi sursauté. 

Moi: Il m'a fallu faire bien des effort pour y parvenir. C'est pour ça que je ne voulais pas que vous veniez chez moi. J'avais peur de perdre le contrôle comme cette nuit. 

Rosa: Cette nuit? 

Moi: Le sang que j'avais a la bouche... Ce n'était pas le mien. Mais celui de Dake. Le garçon de tout a l'heure. Je ne voulais que boire un peu comme je fais depuis près de deux siècle. Mais il était réveiller. Je n'ai pas su me retenir de lui sauté a la gorge. Il m'avait vu. Il savait. Je n'ai pas réussi a m'arrêter. Je l'ai vider de son sang. J'ai tuer ce garçon... Je suis monstrueuse. 

Rosa: Leyla. Tu as besoin de repos. Nous en reparlerons demain a tête reposer si tu veux mais là tu n'as pas les idée claire. 

Moi: Tu dois avoir raison. Je suis fatiguée... 

Rosa: Voilà. Viens de coucher ma belle. Tout ira mieux demain matin. Tu verras. 

Je la rejoins dans le lit m'alongeant en lui tournant le dos. Elle ne me croyais pas. Et je ne pouvais l'en blâmer. 

Le lendemain matin, nous nous somme tous rejoind dans la salle a manger pour le déjeuner. Je ne touchais même pas au crêpes que Lysandre me servis l'esprit emplis de penser sombre. Je n'avais pas envhie de faire semblant ce matin. 

Iris: Tu ne manges pas? 

Moi: Je n'ai pas fait. Le repas d'hier soir me reste sur l'estomac...

Violette: Tu devrais peut être retourner te reposer dans ce cas. 

Moi: Ne t'en fait pas. J'ai juste trop manger c'est tout. Je met du temps a digérer rien de plus. 

Armin: Eh c'est la ville ou on est au info! 

*Il monta le son et nous avons écouter la journaliste parler. 

"le jeune Dakota, agé de 17 ans et originaire d'Australie a été retrouver mort dans sa chambre d'hotel tard dans la nuit par ses amis venu faire la fête. Selon les première investigation il serait mort a exsanguination cependant aucune trace de sang n'a été retrouver sur la scène du crime. Le mystère plane sur cette affaire et la police recommande a la population d'évité de rester isoler temps qu'ils n'auront éclairci l'affaire." 

Iris: Oh mon dieux! Vous imaginez si ça nous était arrivé? Ca me fait froid dans le dos. 

Je fixais l'écran ou la photo de Dake était toujours quand je senti Rosa m'attraper par le bras et la regardais. 

Rosa: On va pas se laisser éffrayer par cette histoire! Allons plutot nous habiller pour aller faire un tour. Viens Leyla. Tu vas m'aider a choisir la tenue parfaite! 

J'eu a peine le temps de me lever qu'elle me tirait derrière elle tandis que je me laissais faire la suivant en silence. 

Une fois dans la chambre elle ferma la porte a clé et me regardais l'air sérieuse. 

Rosa: Raconte moi tout depuis le début.
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