Là où le cœur entre en conflit avec la raison [Castiel amour sucré]

Chapitre 8

Rosa m'avait écouté sans jamais m'interrompre gardant le silence tout du long. Je pouvais lire de la peur dans son regard, mais elle n'était que minime face a la peine qu'il arborait également. 

Rosa: Ma pauvre. Ca a du être si dure pour toi. Et ça dois encore l'être énormément. 

Moi: Maintenant tu comprends mieux pourquoi l'idée de partager la même chambre que toi me rebutais... 

Rosa: Je comprend tout beaucoup mieux désormais. je n'ose même pas m'imaginer dans ta situation. Je me serais surement terrer dans un trou et n'aurais plus jamais bouger de là. 

Moi: C'est ce que j'ai fait en restant enfermée chez moi. Mais la soif de sang me poussait a sortir. Je ne peux pas mourir. Mais tu n'imagine pas a quel point la faim est douloureuse. J'ai essayer plus d'une fois de me refréner.  De ne plus boire de sang. Mais la douleur était si forte que je n'avais d'autre choix que de continuer. 

Rosa: Ma pauvre. Mais il y une chose que je ne comprend pas vraiment... Si il n'y a que le sang qui te nourris, où va toute la nourriture qui te avale avec nous? 

Moi: Pourquoi crois tu que je m'enferme au toilettes après chaque repas? Je ne peux pas digérer les aliment solide. Je suis obliger de les régurgités a chaque fois. Ils me provoquent d'horrible crampe d'estomac. Il n'y a que les liquides qui ne me pose pas de problème. Mon corps les élimines purement et simplement. Je ne mange avec vous que pour paraître normal. 

Rosa: Ce doit être difficile... 

Moi: Tu n'imagine pas à quel point... Si au moins ils gardaient leur goût ça irais. Mais chaque fois que j'ingère autre chose que du sang, j'ai l'impression d'avalé un mélange de terre et de cendre... 

Rosa: Ne le prend pas mal mais je ne voudrais pas me retrouver a ta place. 

Moi: Je ne le souhaiterais a personne. Pas même a mon pire ennemis. C'est pire que la mort. 

On entendi frapper a la porte ce qui nous fit toute deux sursauter et la voix de Kim se fit entendre de l'autre côté. 

Kim: Bha alors les filles? Faut pas dix ans pour s'habiller! Tout le monde vous attend. 

Moi: On arrive Kim. Ne t'en fait pas. Juste le temps de finir de nous pouponner et on descend. 

Kim: Je vous jure. Quelle idée de vous avoir mise toute les deux dans la même chambre. Vous incarner a vous seule le clicher de la nana qui mais une éternité a se préparer. Grouillez vous ou on vous laisse là! 

Rosa: Oui oui! 

On l'entendis partir en jurant et nous nous sommes regarder un moment. 

Moi: Nous n'avons pas parler si longtemps que ça tout de même? 

Rosa: J'ai pas vraiment fait attention en faite. 

Nous nous somme toute deux habiller rapidement avent de rejoindre les autres bras dessus bras dessous plus proche que nous ne l'avions jamais été. Je ne regrettais absolument pas de lui avoir révéler la vérité. Elle avait, comme je l'espérais, été une oreille plus qu'attentive et conciliante. J'avais eu peur que cela ne la face fuir mais je m'étais trompé. Notre amitié semblait s'en être renforcé et ça me rendait presque heureuse. Peut être un jour aurais je le courage de me confier aux autres. Mais chaque chose en son temps. 

Castiel: C'est pas trop tôt! Ca fait plus d'une heure qu'on vous attend. 

Rosa: A ce point? Désoler. On s'est mise a papoté en même temps et on a pas vu le temps passer. Mais on est prête! 

Kentin: Et vous parliez de quoi pour être a ce point prise dans votre conversation. 

Rosa: De truc de fille. 

Alexy: Et j'ai pas été invité? Je suis choqué! 

Je ne pu me retenir de sourire. L'insouciance d'Alexy m'a toujours fasciné. 

Moi: Je doute que nous écouter dresser une liste de garçon mignon t'aie intéresser. 

Alexy: Bien sure que si ça m'intéresse! Et c'est qui le plus mignon alors? 

Rosa: Pour moi Leigh évidemment! Et pour Leyla... 

Je vis a son regard qu'elle s'appretais a dire une imbécilité sans égale et tentais de l'arrêter dans sa lancée. Mais, quand il s'agit de Rosa, même moi je ne peux rien faire. 

Rosa: C'est Castiel! 

Leyla: Quoi?! Mais je n'ai jamais dit ça! 

Il se mirent tous à rire pendant que je m'agitais comme une idiote la sermonnant gentillement. Castiel lui me fixait d'un air ahuris. 

Rosa: Mais quoi? C'est vrai non? 

Leyla: Là n'est pas la question!