chapitre 2

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Le reste de la journée se passa sans encombre. Castiel ne cessa évidemment pas de me fixer guettant le moindre de mes gestes. Comme si j'allais lui montrer si facilement qui je suis. Qu'il est stupide. 

Après les cours je quittais l'école sans plus attendre me dirigeant vers ma demeure étant le manoir qui m'a vu naître a quelque kilomètre de là. Marché ne m'a jamais posé de problème. Surtout que je ne parviens pas a maitriser les moyen de locomotion moderne. De plus une fois bien a l'écart de toute personne pouvant me voir je me met a courir allant bien plus vite qu'un humain banal. 

Mais aujourd'hui je n'en fit rien. Je continuais de marcher normalement. La raison? Et bien il faut croire que Castiel n'as rien de mieux a faire que de me suivre. Un personne normal aurait trouver cela agaçant mais pas moi. J'étais pour le moins amusée et curieuse de savoir jusqu'où il allait me suivre. 

Je fut d'ailleur bien surprise de remarquer qu'il essayait toujours de rester discret en me suivant lorsque j'entrais sur ma propriété. 

Moi: Dit moi Castiel? Contes tu me suivre jusque dans ma demeure? Si c'est le cas il fallait me le dire. J'aurais fait une alte au supermarché te chercher de quoi te désaltérer. Je doute fort que tu te contente simplement d'eau. 

Castiel: Je peux savoir depuis quand tu m'as remarquer?   

Je me retournais vers lui un sourir énigmatique au lèvre. 

Moi: Oh mais je n'ai jamais ignoré ta présence. Tu es loin d'être aussi discret que tu ne sembles le croire. 

Il était flagrant qu'il râlait, très certainement blesser dans son estime. 

Moi: Puisque tu as fait tout ce chemin je suppose qu'il ne me reste plus qu'a t'inviter chez moi. Suis moi donc, toi qui le fait si bien. 

Je repris ma route, Castiel m'emboîtant le pas. J'entrais chez moi regardant la mine éffarer du roux a mes coté avec un amusement non dissimulé et l'emmena au premier salon l'invitant a s'assoir sur le temps que j'allais chercher de quoi grignotter. Il allait me falloir attendre un peu avant de pouvoir aller chasser. Mais cas cela ne tienne. La nuit n'était guère encore arrivé. 

En revenant je le vit fixer une vielle toile défraichie  et déchirée à mon image. Enfin, a l'image de celle que j'était avent de devenir immortelle. 


Castiel: Qui est ce? Un autre de tes ancêtre? Moi: Non du tout

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Castiel: Qui est ce? Un autre de tes ancêtre? 

Moi: Non du tout. C'est moi. Mais c'était il y a longtemps. 

Castiel: Donc tu te colores les cheveux et met des lentilles? C'est pour agacer tes parents? 

Moi: Ils sont mort depuis des années. Et je ne me colore pas les cheveux. Ils sont naturellement blanc. Et mes yeux sont rouge de base. Je ne porte pas de lentilles. 

Castiel: Oh... Hum... Désoler pour tes parents. Alors c'est a cette époque là que tu le faisait? 

Moi: On va dire ça. Ce serait bien trop compliquer a expliquer et de toute facon je n'ai pas envhie de te le dire. Après tout tu t'es juré de le trouver par toi même. 

Castiel: AH! Je le savais! Tu caches bien quelque chose! 

Moi: Je n'ai jamais dit le contraire. 

Je m'assaillant dans un fauteuil face a lui et lui proposa quelques assortiment de friandise ainsi qu'un soda. Pour ma part je ne touchais a rien. J'avais déjà bien du mal avec la nouriture ingérer ce midi. 

Castiel: T'essaye de m'empoisonner? 

Moi: Qu'est ce qui te fait dire ça? 

Castiel: Tu manges pas. 

Moi: Je suis déranger de l'estomac. 

Castiel : Coup de bol d'être arriver un vendredi alors. Tu as tout le week-end pour te remettre. 

Moi: En effet oui. 

Un long silence s'installa durant le quel Castiel pianota sur son telephone en dégustant sa boisson. 

Castiel: C'est quoi ton num? 

Moi: Mon num? Pourquoi veux tu savoir ça? 

Castiel: Semblerait bien que tu face partie de la bande et c'est Rosa qui le veux. Elle a oublier de te le demander. 

Moi: Je vois. 04XX XX XX 24. 

Castiel: C'est noté. voila le mien en même temps. 

Je senti mon téléphone vibrer dans ma poche et le sorti pour voir un simple message avec écrit son nom dessus. A peine quelques seconde plus tard ce fut l'invasion d'sms ecrit en lettre capital arrivant les uns après les autre sans interruption. 

Castiel: Ça c'est signer Rosa. 

Moi: Je pense que je l'avais compris. 

Je répondait péniblement à ses interrogations digne d'une enquête policière et posait mon téléphone sur la table étouffant un long soupir. 

Moi: Est elle toujours aussi... Excentrique? 

Castiel: Crois moi. T'as encore rien vu. Un petit conseil, n'accepte jamais d'aller faire du shopping avec elle si elle te propose. Même un de ces stupide vampire dont nous parle ce crétin de Fareze ne pourrait pas la suivre a travers les boutiques. 

Moi: Tu as un problème avec les vampires que tu les insultes de la sorte? 

Je ne pu me retenir de le regarder d'un air sombre attendant sa réponse déjà a fleure de peau. Je n'appréciais gère que l'on m'insulte même indirectement. 

Castiel: Hein? Tu veux rire j'espère. Ça existe pas ces trucs la. C'est juste des histoire a dormir debout. 

Moi: Celà n'existe pas hein? As-tu la preuve irréfutable de ce que tu avance là? 

Castiel: Non mais il n'y en a pas non plus qui prouve qu'ils existent donc jusqu'à preuve du contraire je n'y crois absolument pas. 

Oh mon chère Castiel. La preuve dont tu parles est juste devant toi, mais ça, tu ne le sauras jamais. 

Castiel: Enfin bref. Comment une gamine de 17 ans a bien pu faire pour se retrouver a vivre dans un tel palace en venant de Paris? 

Tenterait il de me piéger afin de découvrir ce qu'il veut savoir au point de me suivre jusqu'a chez moi sans même me connaitre? J'aurais pu aisément le réduire a l'état de cadavre sanglant mais je n'en avait ni l'envie ni le loisir. Après tout si il avait donner mon numéro de téléphone a Rosa ca prouve qu'elle sait qu'il est ici et si il disparaisait subitement cela attirerait forcément l'attention sur moi. j'ai déjà eu assez de mal ainsi a me faire oublier ces 3 derniers siècle pour avoir a recommencer a zéro. 

Moi: Tu n'es pas très assidu en cour d'histoire à ce que je peut constater. Sinon tu aurais retenu ce que monsieur Fareze a raconter tout a l'heure. Il a pourtant bien expliqué que ce manoir est celui ou résidait ma famille il y a maintenant plus de 300 ans. Pour être exacte c'est le tout premier membre de ma famille qui l'a fait battir et il a toujours été notre propriété. J'ai passé de très nombreuse années entre ces mure. Je suis même née ici. Dans l'une des chambres de l'étage. 

Castiel: Alors là j'ai du mal a te croire. De nos jours on nait a l'hopital je te signale. Alors comment aurais tu pu naitre ici? 

Aïe. Je n'avais pas prévu une telle question. J'avais oublier qu'a cette époque ci les mortelles vont a l'hopital pour accoucher. Dans le pire des cas un peu de vérité ne peu pas être mauvais. 

Moi: Je suis née durant une tempête. Il était pratiquement impossible de se déplacer a l'extérieur. Aussi bien à pied qu'avec n'importe quelle autre moyen de locomotion. Ma mère a été obliger de m'enfanté dans sa chambre sans aucune escorte autre que mon père. Il était médecin et connaissait la théorie relative a un accouchement. Même si... Mère n'y a pas survécu. Elle est décédé en me donnant la vie. Lorsque je l'ai finalement appris je m'en suis énormément voulu d'être en vie. Et puis j'ai fini par me raisonner et de me dire que si elle avait mis sa vie en péril pour m'offrir la mienne c'est qu'elle m'aimait. Sinon je ne serait jamais venue au monde. 

Et je ne serais pas piéger dans les méandre de l'immortalité. 

Castiel restant muet un moment surement ne savait il pas quoi dire face a cette annonce. C'était compréhensible. 

Castiel: C'est moche comme histoire. J'aurais peut être pas du demander et la fermer. Enfin bref. Je vais y aller sinon Démon va me faire la gueule. 

Moi: Démon? 

Castiel: Mon chien. 

Je grimaçais en entendant qu'il avait un chien. 

Castiel: Quoi? T'aime pas les chiens? 

Moi: Hm? Si si je les aime bien. Mais disons que eux ne m'apprécie pas trop. Ils ont tendance a essayé de m'attaquer. 

Castiel: Je te présenterais jamais Démon alors. Comme ça pas de soucis. 

Moi: C'est une idée judicieuse. Je t'aurais bien proposé de te raccompagner mais comme tu as pu le remarquer je me déplace a pied. 

Castiel: Tracasse. Je vie pas si loin que ça. On se voit lundi? Sauf si je sèche. 

J'hochais la tête en étouffant un petit rire et lui sourit. 

Moi: Nous verrons bien cela dans ce cas. Bon retour. 

Il pris la direction de l'entré sans rien ajouter. Je l'accompagnais jusqu'à la porte par politesse et le regarda un instant lui adressant une mise en garde avant de fermer la porte. 

Moi: Oh. Et castiel? Evite de trainer dans les environs la nuit. On ne sait jamais sur quoi on pourrait tombé. 

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Là où le cœur entre en conflit avec la raison  [Castiel amour sucré]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant