PDV Leyla:
Castiel: Parce que je t'aime merde!
Pendant un long moment j'en restais sans voix. Après 4 années à tenter tant bien que mal de faire taire mes sentiments, il venait de réduire tout mes efforts a néant. En une seule phrase il m'avait fait retourné a la case départ.
Je reculais en le fixant et secouais la tête.
Moi: C'est impossible Castiel. Ca ne pourrait pas marcher.
Castiel: Tu ne peux pas le savoir!
Moi: Regarde moi! Ca fait maintenant 304 ans que je suis ainsi. Je suis figée dans le temps. Alors que toi. 4 années on suffit a te changer inexorablement. dans moins de 2 ans tu auras l'air bien trop vieux par rapport a moi. Je suis immortelle. On est pas du même monde.
Castiel: Et alors? J'en ai rien a foutre. Ecoute. Je dois partir demain matin. Je rentre a Amory. On prend le train a 10h00. Rejoins nous a la gare. On rentrera ensemble. Et tout redeviendra comme avant. On sera de nouveau tous ensemble. Ou presque. Lysandre est parti, Kentin s'est engager dans l'armée et Nathaniel a mal tourné. Rejoind moi. S'il te plait.
Et cette fois ce fut a son tour de partir en me laissant là. Je le regardais s'éloigner tiraillé entre l'envhie de le suivre, et celle, plus rationnel mais plus douloureuse, de le laisser s'en aller.
Je n'avais pas le courage d'affronté a nouveau ses iris au reflet d'argent. Je savais que si je le faisait je ne serais plus capable de m'éloigner de lui.
Le coeur en lambeau, je rentrais chez moi, perdue dans mes pensées. Qu'allais je faire?
PDV Castiel:
A mon retour a l'hotel, j'avais subit l'enfer de n'avoir prévenu personne et après une longue discussion je pu aller me coucher. Mais mon sommeil fut bien cours.
Au moment de partir j'étais nerveux. Je souhaitais de tout coeur la voir sur les quaies, une valise a la main, m'attendant comme je lui avait demander.
Le trajet vers la gare me parut a la fois court et horriblement long. A chaque fois que je regardais dehors, j'avais l'impression de la voir marché sur le trottoir de sa manière si gracieuse. Chaque passant devenait, pour une fraction de seconde, la femme qui occupe mes pensées. Mais ce n'était jamais elle.
Une fois arrivé, aucune trace de cette chevelure blanche que j'aime tant. Ni de ces deux rubis envoûtant. Je perdais tout espoir au moment ou le train parti. Jusqu'a la derière seconte je me nourrissais de l'idée de la voir surgir a n'importe quel moment. Mais il était trop tard. J'avais tellement espérer qu'au moment même ou on passait les derniers mètres du quais, je cru la voir arrivée.
Le voyage se passa dans le silence le plus total de ma part. Je ne me joignais pas a la conversation animé de mes camarades fixant en permanence le décors durant les longues heures ou le train nous ballottait sur les raies de manière régulière.
A notre arrivé a la gare d'Amoris, je laissais tout le monde là et partais vers le manoir ou je vivais depuis se fameux jour, en prenant soin du mieux que je puisse. Bien sure, je n'étais pas une fée du logis, et mon emploi du temps ne permettais pas de le laisser dans un état irréprochable comme il l'était toujours quand Leyla y vivait. Mais je faisait de mon mieux pour qu'il reste le plus accueillant possible pour le jour ou sa maîtresse reviendrait. Jour qui, me semblait il, n'arriverait jamais. Ou du moins pas de mon vivant.
En rentrant, Démon m'accueillis avec joie. Iris s'en occupait pendant mes absences et je n'avais jamais rien eu a lui redire. Pourtant, quelque chose me vint me déranger lorsque mon chien me sauta dessus. Il y avait du sang sur ses babines.
Moi: Qu'est ce que tu as encore fait toi hein? Tu as encore bouffer un pigeon? Aller. Montre moi ta pauvre victime.
Je le suivais jusqu'à dehors les mains dans les poches. Qu'est ce qu'il avait encore fait cette fois?
Le retour jusqu'ici avait été si long que la nuit était déjà tomber. C'était la pleine lune. Exactement comme la première nuit que j'ai passé ici et ou j'ai retrouver Leyla, perchée dans un arbre. Elle avait prétendu contemplé les étoiles depuis son perchoir. Mais désormais j'avais compris qu'elle revenait d'avoir été se nourrir.
Démon s'arrêta devant un arbre en fleure et s'y coucha ne bougeant plus de là. Je m'approchais pour lui dire de me montrer sa proie du jour quand je vie quelque goûtes de sang tacher les herbes en face de lui.
Moi: C'est donc ici que tu as bouffer une bestiole? Ou est le reste?
...: Je ne me doutais pas qu'il avait suffisamment de force dans la mâchoire pour me blesser. Même si c'est déjà guéri.
Cette fois me pétrifia d'un seul gout. Je n'avais aucun doute sur sa propriétaire et mon coeur rata un battement lorsque, en levant la tête, je la vis assise sur une branche de l'arbre, tournée vers la lune, la légère brise faisant voler doucement ses cheveux d'argent.
Moi: L... Leyla?
Leyla: J'ai raté le train a seulement 10 secondes près. Il est parti a 9h58. Pas a 10h00. J'ai été obligée de faire le trajet a pied.
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Là où le cœur entre en conflit avec la raison [Castiel amour sucré]
Fiksi PenggemarIl y a 300 ans de cela, une jeune fille d'à peine 17 ans fut attaqué par un être surnaturel. Alors qu'elle s'attendait à mourir sous les cros de cette bête, elle survécu. Résultat de quoi elle fut d'ôter de capacité surhumaines. Force, rapidité et i...