Chapitre 11

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J'avais fait mon choix. Et rien n'y changerais. Il fallait faire au plus vite. Aucun de nous ne savait combien de temps il pourrait tenir le coup. Le temps jouait contre nous. 

J'aurais préférer faire ça a faveur de la nuit mais je ne pouvais me permettre de prendre le risque qu'il meurt avant que je ne tente quoi que ce soit. 

Nous sommes donc tous entré a nouveau dans le bâtiment et retournions voir le médecin. 

Moi: Dans quelle chambre se trouve Castiel? 

Médecin: A la 402 mais vous ne pouvez pas le voir. Son état est trop critique. 

Kim: Bon. Tu vas m'écouter toi. Si notre pote est sur le point de mourir t'as pas le droit de nous empêcher de le voir une dernière fois! Et si tu le fais ça va barder. Tu sais pas qui on est toi! On pourrait raser cette endroit si il le faut c'est bien clair. Alors tu vas... 

Le plan avait l'air de marcher. Sur le temps que Kim occupait le médecin avec les autres je me faufilais dans les couloir avec Lysandre et Rosalya et nous nous dirigions tous les 3 vers la chambre de notre ami. 

Une fois arriver j'entrais avec Lysandre Rosa surveillant devant la porte pour être sur que personne n'allait entré. On avait convenu que si une infirmière ou quelque d'autre arrive elle se mettrais a pleurer bruyamment pour nous alerté et alors je me cacherais sur le temps que Lysandre tiendrais occupé le fauteur de trouble. 

Mon coeur se serrant a la vue de Castiel relier a toutes ses machines mais je ne me décourageait pas et regardait le victorien qui compris immédiatement que je ne voulais pas qu'il voit ça sans que je ne dise quoi que ce soit. Il se retourna sans un mot me laissant faire sans un mot. 

J'étais très nerveuse et m'approchais de Castiel en tremblant. Faites que ça marche. 

Je prenais une grande inspiration avant de me pencher au dessus de lui et dégeais sont cou avent de le mordre doucement. Son sang afflua rapidement dans ma bouche mais le gout était infecte. Le médecin disait vrai. Il était clairement emplis de toxine le rendant amère et écoeurant. C'était la première fois de ma longue vie que boire du sang me répugnais. 

Je n'en bu pas plus de l'équivalent d'une petite bouteille d'eau avant de m'écarter et de me mordre moi même au poignet. C'était maintenant ou jamais. Je pris quelque seconde pour contempler son visage dans les moindre détail craignant tout de même que ce que je m'apprêtais a faire le change irrémédiablement avant de me jeter a l'eau. 

Je retirais son masque a oxygène pressant mon poignet contre sa bouche ouverte pour y faire couler mon sang qu'il avalait par pure réflexe. Une fois fini j'essuyais ses lèvres et replaçais son masque appréhandant la suite. 

Moi: Lysandre. 

A peine avais je prononcer son nom qu'il se retrouvais a mes cotés et regardait son meilleur amis. 

Moi: Ca risque de prendre un moment... Il faut que mon sang passe dans son système sanguin. 

Lysandre: Je sais. J'espère qu'il n'y aura pas de problème. 

Moi: Moi aussi. Je l'espère de tout coeur. Nous ne pouvons rien faire de plus. Partons avant de nous attirer des ennuis. 

Lysandre: Oui. Nous reviendrons demain voir ce qu'il en est. 

J'hochais la tête quittant la pièce avec lui et nous sommes tous trois parti de l'hopital rejoingant nos amis qui entre temps c'était fait virer parce qu'ils posaient problème. 

Rosa: Vous n'y êtes pas aller de main morte pour carrément vous faire virer. 

Nath: Kim s'est laisser emporter et a donner un coup de poing en plein visage au médecin. 

Kim: Désoler d'être violente hein! Mais il était très désagréable. 

Moi: Ne t'excuse pas. C'est mieux qu'il soit tomber face à toi qu'a moi. 

Armin: Tu lui aurais mis un coup de poing toi sa tête se serais décrocher. 

Moi: Fort probable. Rentrons. Nous verrons ce qu'il en est demain. 

Alexy: On squatte chez toi? 

Moi: Cela va de soit. 

Nous sommes tous rentrer ensemble chez moi et avons prier tous ensemble que tous se passe bien avant d'aller nous coucher. 

Avec tout ce qu'il s'était passer je n'avais même pas envie d'aller chasser. Je passais donc la nuit entière a faire les 100 pas dans ma chambre a me ronger les sangs. Le temps passait a une lenteur cruelle. j'eu l'impression que le jour ne se lèverait jamais. Ca me parut plus long que ma vie au complet et pourtant ce n'avait durer que quelques heures à peine. 

Quand, n'y tenant plus, je sortais de mes appartements pour me rendre au salon dans l'intention de m'occuper devant la TV je fut surprise d'y retrouver Rosalya et lysandre. 

Moi: Vous ne dormez pas? 

Rosa: On y arrivait pas... Toi non plus? 

Moi: Moi? Oh tu sais... Ca fait 3 siècles que je n'ai pas dormi. Je ne m'allonge que pour me rappeler ce que ça faisait de pouvoir sombrer dans les lymbes du sommeil. Habituellement je chasse toute la nuit pour tenir la journée entourer des humains. 

Lysandre: C'est bien triste. 

Je m'asseyais a leur cotes en haussant les épaules. 

Moi: Ce n'est pas grand chose face au reste de ce qu'est ma vie.

Lysandre: Je vois... Ce tableau? C'était toi? 

Je suivais son regard diriger vers la toile que Castiel avait remarquer a sa première visite. 

Moi: Oui. Il a été fait le jour de 17 eme mon anniversaire. Soit 6 mois avant que je ne devienne ce que je suis. 

Lysandre: Tu étais déjà très belle a l'époque. 

Moi: Merci. Mais j'étais surtout bien insouciante. Si je m'étais méfier à l'époque je n'en serais pas là aujourd'hui et je reposerais au coté de ma famille depuis bien longtemps. 

Rosa: Et on ne t'aurais jamais connu. 

Moi: En effet. 

Nous avons discuter ainsi jusqu'à ce que les autres ne se lèvent. On pouvait lire sur leur visage qu'eux aussi avait passer une très mauvaise nuit. Je leur préparais un bon petit déjeuner qu'ils mangeairent en silence avant que nous ne retournions à l'hôpital.  

Je ne perdais pas une seconde pour interpeller une infirmière lui demandant si nous pouvions aller voir notre ami. 

Infi: Monsieur Castiel? Vous devez être ses amis qui avez semer la zizanie dans le batiment hier. 

Moi: Désoler pour ça. Nous étions a cran... 

Infi: Ce n'est rien. Mais que ça ne se reproduise plus. Je vais appeler le médecin. 

Elle parti revenant un quart d'heure plus tard avec l'homme d'hier qui nous regarda longuement avant d'enfin prendre la parole. 

Médecin: Vous allez être ravis. Personne ne se l'explique mais votre camarade a subitement été beaucoup mieux et ses analyses de ce matin on révéler qu'il n'avait plus aucune toxine dans le corps. C'est un véritable miracle tenant de l'impossible. D'ailleurs il est réveillé et nous avons bien du mal a le faire tenir en place. 

La joie et le soulagement pouvaient se lire sur nos visage et nous avons eu le droit d'aller le voir. On ne s'est évidement pas fait prier et nous sommes dépêcher de rejoindre sa chambre entrant tous les uns après les autres dans la pièce le faisant même sursauté. 

Lorsque je le vit ma première réaction fut de le fixer m'assurant de la sorte qu'il n'avait pas changer et il était toujours le même. J'étais désormais totalement soulager et me jetant littéralement a son cou le serrant en pleurant de joie. 

Moi: Tu nous as fait si peur...

Castiel: Houla... Doucement fillette. Tu veux me briser les os ou quoi? 

Je ne pu me retenir de rire sans pour autant le lâcher. 

 Moi: Loin de moi cette idée! Je n'ai pas fait tous ça pour te blesser par derrière. 

Lysandre: Ca fait du bien de te revoir parmis les bien vivants l'ami. 

Castiel: Merci mon pote. Mais que c'est il passer? 

Kim: Longue histoire mec. Mais pour faire court t'as faillis y passer et notre petite Leyla t'as sauvé la vie deux fois en quelques heures. 

Castiel: Deux fois? 

Moi: On en parlera une fois tous rentré d'accord? Il y a pas mal de chose à dire. Et je te rassure. Démon se porte à merveille. Même si il a ravager mon jardin en y creusant des trous. 

Castiel: Je l'engueulerais quand je le verrais.

Moi: Pas la peine. Je me suis permise de le faire. 

Castiel: Sérieusement? Tu tiens pas à la vie toi. Il a sale caractère mon chien. Et en plus si je me rappelle bien tu m'as expliquer que les chiens ont tendance a t'attaquer non? 

Moi: Oh mais il l'a fait. Avant que je ne vous sorte tout les deux des flammes. Depuis il est très gentil avec moi. Un vrai caniche. 

Castiel: Eh! Démon est un beauceron! Pas une horreur de toutou a mémé. 

Je ne me retins pas de rire comme tout les autres. 

Castiel: Par contre. Tu contes me prendre pour une peluche encore longtemps. 

Moi: Oh. Toute l'éternité ça te vas? 

Rosa: C'est l'amour fou dit donc! 

Castiel: Rosa... Arrête avec tes conneries. 

Moi: Dans mon cas ça n'en est pas.

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Là où le cœur entre en conflit avec la raison  [Castiel amour sucré]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant