Te souviens-tu de cette fille
Qui marchait sous la pluie
À côté des voitures qui défilent
Avec quelques-uns de ses amis ?Emplie de joie, elle souriait à la vie
De ce sourire cristallin qui luit
Alors que tombe toujours la pluie
Illuminant autour d'elle tous ses amisDans les flaques, les garçons sautillent
Alors que, cette eau sale, évitent les fillesLa joie, le bonheur, les rires fusent
De l'euphorie ces jeunes gens abusentEt elle, de son rire qui maintenant vacille,
N'aura bientôt plus ses sensations qui frémillentEt sa joie, son bonheur à la vie elle crit
Tant que ne sera pas tombée la nuitTant que ne seront pas venus les pleurs
Tant qu'il n'y aura pas cette douleurTant qu'elle n'aura pas peur
D'à nouveau panser son coeurMais quand on y réfléchit un tout petit peu
On voit que la joie peut rendre les uns envieuxEt tous ces instants mielleux
Peuvent finir en adieuxCette fille qui marche seule sous la pluie
Avec les gouttes sur son visage qu'elle n'essuieEst habillée d'un voile de tristesse si joli
Qu'il restera sur elle jusqu'à l'infini
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Éternelle tristesse
PoetryDans ce recueil une personne, peut-être vous , peut-être (surtout) moi , peut-être lui, peut-être elle demeure dans l'éternelle tristesse . Textes en rimes Aux différentes origines Afin de souligner l'éternelle tristesse, Celle qui jamais ne cesse...