Je me suis écrasée sur le bitume
Comme un oiseau ayant perdu ses plumesJ'ai pleuré mon mal-être face à la lune,
Elle a essuyé mes larmes une par uneLes fleurs le soir se fanent
Dans le champ noir de mon âmeElles se laissent inonder par les larmes
Elles se laissent mourir dans le calme
Je me suis recroquevillée dans ma douleur,
Mes lèvres se sont closes devant la peurMa bouche a tenté en vain de dénoncer la souffrance de mon coeur
Mais seule l'écriture a su la décrire et aussi mes éternels pleurs
Le soleil ne peut être présent
Lorsque le bonheur est absentEt la mort m'emporte dans l'inconscient
Et seul me supporte le malheur omniprésent
Je me suis laissée berner par l'espoir
Qu'un jour la joie je pourrais revoirMais elle a été retrouvée morte dans les couloirs
Où son agonie n'a pu personne émouvoir
Les battements de mon coeur se stoppent
L'obscurité de ma lasse vie m'emporte
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Éternelle tristesse
PoesieDans ce recueil une personne, peut-être vous , peut-être (surtout) moi , peut-être lui, peut-être elle demeure dans l'éternelle tristesse . Textes en rimes Aux différentes origines Afin de souligner l'éternelle tristesse, Celle qui jamais ne cesse...